Est, Là,
Apparent, en Conscience,
Matière, en Mouvement.
La conscience Existe,
Sensation en croissance, La conscience Existe,
Perception en déplacement,
Apparition et communication,
Inaccomplie.
Être Est Conscient.
Conscience d'Être.
En devenir, à jamais consciente (innocente).
Corporelle (sensorielle) et juxtaposée est en délivrance, Décisionnelle (intentionalité).
Socialisée (Contenter, ainsi soi, oblige), se réfère à la morale, instinctive loi (nécessité).
Devoir le droit (au bonheur) d'autrui (réciprocité, du rapport humain) en est l'application.
La transgression est culpabilisante, désintègre, mais notre Etat, déterminant.
Le moi (isolante conscience d'être), appréhendant d'être en dehors de tout (comme vide), s'assimile, s'identifie au milieu dont il est imprégné, s'y intègre.
Cette identification (retranchement) est d'une aperception réduite (possible) du monde.
Lorsque deux identités (attachement) se rencontrent, leurs paraissant étranges (autrement), elles craignent l'inconnu et d'être envahies (mélangées), soit de perdre leur propriété (aléatoire, situationnelle) et s'y enferment, les rendant exclusives et indifférentes. Elles se réinventent en race (appartenance, racisme).
Ordinaire, la compassion (ainsi le droit) est identitaire.
Arbitraire, l'Identité consiste et disloque, divise, prédispose au conflit, régulateur, que l'inquiétude générale provoque.
Sinon, la procréation est nécessairement naturellement conditionnée à l'appétence, l'attirance et la possibilité, avec l'espérance pour l'humaine.
Autre est de même.
Il n'est d'autre (moi, sien que j'associe au mien ou que j'ignore), différent (comparatif élémentaire), aussi d'aspect, de culture et de langage (d'identité), par adaptation à des lieux isolés, qu'entre éléments du même genre (végétal-animal-humain).
La conscience d'Être, réflective (miroir), subjective et qualitative, est En elle l'unique (aussi de composition, personnalisée) au monde (Apparente, en visage, expressif), en définition (déterminée, prospective), (co)existante (communicant, soit relationnelle et interactive, réaliste) et en Besoins (désireuse et progressive, insatisfaite).
Notre essence, interne, est par notre existence, externe. L'intériorité délie (libère), nécessite de se relier (se réadapter), de rentrer en délivrance, de se libérer constamment de soi (du moi), s'extérioriser, Exister.
Surprise (décontenancée), est interrogative (incitée à se compléter, à comprendre),
Soit Sentimentale (sentimentalité, sensation animale innée, continuelle),
Voir là nôtre essence primordiale (comportementale).
Voir là (connaître), toute chose, imperceptible, abstraite (genres et rapports en composition plus ou moins complexe, tous nommés, Connus), nous apparaît (n'est qu'en conscience humaine, sinon n'est que l'apparente matière, perçue par l'animal. Toute la conscience étant en et d'elle-même, sensation, végétale).
Voilà l'apparition, l'illusion de voir, ainsi savoir, la vérité (notion résultante, par méconnaissance, de l'inévitable et perpétuelle erreur).
Comprendre (admettre), reconnaître en toute chose son absolue nécessité (conduit notre accomplissement) en identifiant, au plus proche de l'exactitude, leur Aperçu aux apparues (Idées, Mémorisées, Constituantes, aussi innées). Pour communiquer, auparavant à nous même étant post-existants, nous traduisons instantanément une composition à la fois sentimentale et idéale (mentalement apparente, universelle) en verbale (communicable), et vice versa, de désignation en apparition.
Nous sommes apparition de tout, aussi idée de nous même, nous sommes est.
Tout est relatif, à la Qualité.
La conscience émane de la matière, résulte de la fonction organique.
Le corps est réalité, la conscience, vérité (tout en un, là).
Voilà la sujétion. Le sujet est de l'objet, substance constructive et destructible.
(Les consciences végétale et animale sont objectives, réellement adaptées).
L'Apparence, principale qualité d'Être, non pas primaire mais primordiale (superficielle à la matière, est en conscience, Plénitude de formes, couleurs, odeurs et saveurs, ordinaires merveilles), Extérieur infini, est perçue de son (a un) intérieur,
D'où la Matière, Intérieur logique, plein (ainsi domaine fondamental, l'Objet), aussi infini, divisé (morcelé), contient son extérieur (l'extérieur est à l'intérieur de son intérieur).
Vraie Réalité ou réelle Vérité, Tout, composition d'éléments duals (variables), se maintient en équilibre entre attraction et répulsion (dû à la rotation, productrice de la friction, la combustion, l'attraction), de même entre amour et haine (nous haïssons par amour).
L'évolution est la qualité du mouvement (formateur de l'univers).
Mouvement, l'existence, intégration de la conscience à la matière, est évolutive.
La conscience applique à son sujet la qualité de son existence.
Voilà le "temps", résultant, l'écoulement de l'existence, à sa vitesse.
Voilà l'advenant mais passant Présent, résultat et fondement, Seul et Unique, le même partout, permanent.
Être, réellement temporel, mais ne pouvant pas ne pas être, n'a pas d'origine.
(Infinie et multiple, la présence est élémentaire).
Pourquoi toi ?
L'être d'une conscience suffit, assuré par la Multiplicité.
Pour autant, l'absence d'une conscience y annihilerait Être.
Est donc toute conscience, aussi celle toi.
Mais, par la qualité de son existence, la conscience est mortelle (croissances limitées).
Soit une conscience est conçue à partir d'un élément éternel, l'Âme.
Portée par chaque particule élémentaire (indivisible), l'âme prend corps (intégrant la personnalité) par (voilà la motivation animale) la régulatrice nutrition, absorbée et réincorporée ou recomposée en graine, pré-conscience produite possiblement par millions.
Chaque conscience est ainsi perpétuellement totalement renouvelée.
A l'infini, il ne manque aucune âme.
L'âme est l'élément de Être et la conscience, sa substance (en un même corps, d'un Être conscient).
Être est de la communion intégrale (individuellement intérieure) de toute la conscience, végétale, animale et humaine.
Tout est relatif, à la Qualité.
La conscience émane de la matière, résulte de la fonction organique.
Le corps est réalité, la conscience, vérité (tout en un, là).
Voilà la sujétion. Le sujet est de l'objet, substance constructive et destructible.
(Les consciences végétale et animale sont objectives, réellement adaptées).
L'Apparence, principale qualité d'Être, non pas primaire mais primordiale (superficielle à la matière, est en conscience, Plénitude de formes, couleurs, odeurs et saveurs, ordinaires merveilles), Extérieur infini, est perçue de son (a un) intérieur,
D'où la Matière, Intérieur logique, plein (ainsi domaine fondamental, l'Objet), aussi infini, divisé (morcelé), contient son extérieur (l'extérieur est à l'intérieur de son intérieur).
Vraie Réalité ou réelle Vérité, Tout, composition d'éléments duals (variables), se maintient en équilibre entre attraction et répulsion (dû à la rotation, productrice de la friction, la combustion, l'attraction), de même entre amour et haine (nous haïssons par amour).
L'évolution est la qualité du mouvement (formateur de l'univers).
Mouvement, l'existence, intégration de la conscience à la matière, est évolutive.
La conscience applique à son sujet la qualité de son existence.
Voilà le "temps", résultant, l'écoulement de l'existence, à sa vitesse.
Voilà l'advenant mais passant Présent, résultat et fondement, Seul et Unique, le même partout, permanent.
Être, réellement temporel, mais ne pouvant pas ne pas être, n'a pas d'origine.
(Infinie et multiple, la présence est élémentaire).
Pourquoi toi ?
L'être d'une conscience suffit, assuré par la Multiplicité.
Pour autant, l'absence d'une conscience y annihilerait Être.
Est donc toute conscience, aussi celle toi.
Mais, par la qualité de son existence, la conscience est mortelle (croissances limitées).
Soit une conscience est conçue à partir d'un élément éternel, l'Âme.
Portée par chaque particule élémentaire (indivisible), l'âme prend corps (intégrant la personnalité) par (voilà la motivation animale) la régulatrice nutrition, absorbée et réincorporée ou recomposée en graine, pré-conscience produite possiblement par millions.
Chaque conscience est ainsi perpétuellement totalement renouvelée.
A l'infini, il ne manque aucune âme.
L'âme est l'élément de Être et la conscience, sa substance (en un même corps, d'un Être conscient).
Être est de la communion intégrale (individuellement intérieure) de toute la conscience, végétale, animale et humaine.
Destin.
La graine porte la forme.
La forme résulte de l'adaptation.
L'existence est interactive,
L'interaction est successive,
Sa destination est inéluctable.
L'humain, préoccupé par l'avenir, est acteur, de son destin, décisionnaire de sa normalité, d'où l'intentionalité, constante.
Usage de la termitière.
Notre milieu (environnement ? Nous !) est scientifiquement conditionné, artificiel (fonctionnel), succès damné de Nature.
Savoir pour pouvoir, changer, combler l'ignorance, corriger l'erreur.
Vouloir (de devoir à pouvoir) se contenter du nécessaire et suffisant (non Conforté), ne pas vouloir paraître capable, jusqu'à pouvoir renoncer à la satisfaction.
Voilà l'inexorable consomption de monde (d'une conscience, universel brin d'herbe),
Fatale, faute à l'isolement identitaire (déjà élémentaire) et trois niveaux de développement économique Monétaire, de besoins (d'envies irrépressibles), de surcroît à l'incrédibilité de la fin (agonie, prémices effectives, en cette époque démentielle de communication personnellement satisfaisante) de notre monde, admis (comme La) Création (temporelle, ayant un commencement), divine (éternelle, sans fin), ou spontanée (explosion de rien), à y être résigné, à l'impossibilité (occultée) de l'éviter.
La conscience humaine est distincte de son corps, d'où de la nature.
La nature est le corps, proche de la perfection, de la conscience.
Combinée, en complète interdépendance, la diversité assure sa continuité, Diffère sa dégénérescence (sa dégradation a débuté au commencement du développement de la commodité).
Voilà l'organisme (charnel, cru) de la conscience, l'objet autorégulé (éliminatoire).
Vouloir (de devoir à pouvoir) se contenter du nécessaire et suffisant (non Conforté), ne pas vouloir paraître capable, jusqu'à pouvoir renoncer à la satisfaction.
Voilà l'inexorable consomption de monde (d'une conscience, universel brin d'herbe),
Fatale, faute à l'isolement identitaire (déjà élémentaire) et trois niveaux de développement économique Monétaire, de besoins (d'envies irrépressibles), de surcroît à l'incrédibilité de la fin (agonie, prémices effectives, en cette époque démentielle de communication personnellement satisfaisante) de notre monde, admis (comme La) Création (temporelle, ayant un commencement), divine (éternelle, sans fin), ou spontanée (explosion de rien), à y être résigné, à l'impossibilité (occultée) de l'éviter.
La conscience humaine est distincte de son corps, d'où de la nature.
La nature est le corps, proche de la perfection, de la conscience.
Combinée, en complète interdépendance, la diversité assure sa continuité, Diffère sa dégénérescence (sa dégradation a débuté au commencement du développement de la commodité).
Voilà l'organisme (charnel, cru) de la conscience, l'objet autorégulé (éliminatoire).
Névrosée (abîmée, inhibée).
La conscience humaine est primordialement sentimentale (voilà notre expression).
La raison n'est pas nôtre, elle nous apparaît et s'impose.
L'éducation (explications) est affective et qualitative (à quelle condition serait elle parfaite, à être tous amoureux ?).
Un enfant, déjà descendant (personnalisé) et pressentant son devenir, émerveillé (clair voyant) s'imprègne (de moins neuf mois à plus quatre ans, puis suit le phénomène boule de neige), selon sa sensibilité, de ce qu'il ressent de Son monde (côtoyé), Attaché à ses Exemplaires parents (transmetteurs) et, sans introspection, jusqu'à l'adolescence et l'inclusion sensorielle, ouvert (vulnérable).
Un adulte (ressentant), optimisé et introspectif, continu de se constituer (possiblement s'accorder) au travers de sentiments résultants obsessifs, voir jusqu'à obsessionnels, incluant leur besoin, d'imprégnations indélébiles et imperceptibles en soi (nous nous connaissons qu'effectivement), mais potentiellement apparentes aux autres, enfermé (Conditionné, naturellement et normalement subvenant à tout besoin au sein d'une identité), et réactionnel (Compensatoire), éloigné du bonheur.
Voilà la dépersonnalisation (atteignant la précise expressive forme charnelle, l'appariteur visage), homogénéité spécifique, obéissance, carences et inhibitrice frustration sont perpétuées.
Le sentiment, circonstanciel, est spontané, le rêve, subconscient (personnel), le réinvente.
Notre subconscience ou intégralité en instance, adaptatrice, répond à nos obsessions, manques ou rejets affectifs, physiquement (elle peut s'opposer à la séduction corporelle ou au contraire).
Voilà l'involontaire autosuggestion.
La douleur, excluante, doit être partagée, son adoucissement requiert d'en connaître la cause. Les comportements sentimentaux des adultes engendrent les sentiments comportementaux des enfants.
La volonté, à défaut d'être simplement véritable, est vainement forcée.
Je m'Enfume, embrume mes ressentiments, ou m'enivre, euphorique palliatif, exutoire (artificielle extase, exempte de béatitude), me désinhibant, me rouvre à m'éteindre, me panse, me rend_ferme en état modifié.
Voilà l'intime désolation, l'inhibition.
Incessante quête d'une harmonieuse réalité, la Présence, se sentir là, être Ce Là, Comblé, requiert, dès avant la naissance et au moins jusqu'à l'âge de l'éveil, précédant celui de la raison, d'être Introduit (préparé) au monde, à l'envie d'y participer et de partager, d'exister intégral.
Toute conscience exprime sa présence, son absence, parfois jusqu'à la violence.
Voilà l'incommunicabilité, d'être en retrait ou autrement nulle part ailleurs.
L'amour, bien qu'inné, doit nous être confirmé, sinon nous perdurons infirmes, existant hors de tout et de tous, du moindre intime partage ou communion, inapte au réel bonheur (voilà la physiologique existence, perpétuée).
Le sentimental état d'une conscience, prédominant (qu'elle doit maîtriser), résulte de sa sensible expérience infantile.
La raison n'est pas nôtre, elle nous apparaît et s'impose.
L'éducation (explications) est affective et qualitative (à quelle condition serait elle parfaite, à être tous amoureux ?).
Un enfant, déjà descendant (personnalisé) et pressentant son devenir, émerveillé (clair voyant) s'imprègne (de moins neuf mois à plus quatre ans, puis suit le phénomène boule de neige), selon sa sensibilité, de ce qu'il ressent de Son monde (côtoyé), Attaché à ses Exemplaires parents (transmetteurs) et, sans introspection, jusqu'à l'adolescence et l'inclusion sensorielle, ouvert (vulnérable).
Un adulte (ressentant), optimisé et introspectif, continu de se constituer (possiblement s'accorder) au travers de sentiments résultants obsessifs, voir jusqu'à obsessionnels, incluant leur besoin, d'imprégnations indélébiles et imperceptibles en soi (nous nous connaissons qu'effectivement), mais potentiellement apparentes aux autres, enfermé (Conditionné, naturellement et normalement subvenant à tout besoin au sein d'une identité), et réactionnel (Compensatoire), éloigné du bonheur.
Voilà la dépersonnalisation (atteignant la précise expressive forme charnelle, l'appariteur visage), homogénéité spécifique, obéissance, carences et inhibitrice frustration sont perpétuées.
Le sentiment, circonstanciel, est spontané, le rêve, subconscient (personnel), le réinvente.
Notre subconscience ou intégralité en instance, adaptatrice, répond à nos obsessions, manques ou rejets affectifs, physiquement (elle peut s'opposer à la séduction corporelle ou au contraire).
Voilà l'involontaire autosuggestion.
La douleur, excluante, doit être partagée, son adoucissement requiert d'en connaître la cause. Les comportements sentimentaux des adultes engendrent les sentiments comportementaux des enfants.
La volonté, à défaut d'être simplement véritable, est vainement forcée.
Je m'Enfume, embrume mes ressentiments, ou m'enivre, euphorique palliatif, exutoire (artificielle extase, exempte de béatitude), me désinhibant, me rouvre à m'éteindre, me panse, me rend_ferme en état modifié.
Voilà l'intime désolation, l'inhibition.
Incessante quête d'une harmonieuse réalité, la Présence, se sentir là, être Ce Là, Comblé, requiert, dès avant la naissance et au moins jusqu'à l'âge de l'éveil, précédant celui de la raison, d'être Introduit (préparé) au monde, à l'envie d'y participer et de partager, d'exister intégral.
Toute conscience exprime sa présence, son absence, parfois jusqu'à la violence.
Voilà l'incommunicabilité, d'être en retrait ou autrement nulle part ailleurs.
L'amour, bien qu'inné, doit nous être confirmé, sinon nous perdurons infirmes, existant hors de tout et de tous, du moindre intime partage ou communion, inapte au réel bonheur (voilà la physiologique existence, perpétuée).
Le sentimental état d'une conscience, prédominant (qu'elle doit maîtriser), résulte de sa sensible expérience infantile.
La télévision (etc), communautaire, ainsi populaire, est une fenêtre ouverte sur le monde Transcendant la présence, à terme de monde, nous y transposant, approximativement unificatrice, distrayante, par ce biais, Culturelle et Educative.
Aussi l'instrument de notre insatiabilité, nous permettant, pour pallier l'habitude, d'exister (observateurs, nous assimiler) virtuellement par procuration, de séduisantes et impressionnantes fictions, hypnotiques, nous emportant, comme des rêves vécus, à en rester imprégnées de sentiments terribles ou doux.
Voilà la virtualité, le dernier état du désir, celui d'une conscience factice (même virtuel ou fictif le bonheur est ressenti).
En fin le voile est levé !
Par la dualité des éléments, étant essentiellement Comparative, nécessairement en constante variation sensorielle, Contrastée. La douceur souvient de la douleur, Confrontée (à tendance dominatrice), prenant sa qualitative sensibilité, estimable et déterminante, pour valeur, engendrant le mérite (récompensatoire), la honte et le mépris (névrotiques), Valoir, Aspirer à se ressentir et paraître meilleur, qu'autre, à s'élever, sauf d'être Content de participer, de se sentir utile, d'avoir une raison d'être, est un besoin inhérent à la conscience humaine (ainsi influençable, conditionnable), rassure, à rire, déborder de contentement, d'être apte à exister, parvenu, mais engendre aussi la dominance, ainsi la violence, "réplicatives".
La moquerie, reconnaissance de nos défauts (l'imperfection est notre principale qualité), semblant nous en exclure (les dénonçant), en exprime la satisfaction.
Valoir nous satisfait, d'où notre penchant à estimer notre prochain, plus ou moins lointain ou ailleurs, par besoin de le connaître, à confirmer le racisme (élévatoire) et le patriarcat (éducation matriarcale phallocratique).
En creux de monticules se pelotonne le douillet pas sage. Conduit, Rude réduit Délicate. Con fut le premier mot prononcé puis détourné par un homme.
En creux de monticules se pelotonne le douillet pas sage. Conduit, Rude réduit Délicate. Con fut le premier mot prononcé puis détourné par un homme.
Obnubilés par la raison. Apercevant que toute chose est incluse à une autre n'étant pas sans, d'où "Pourquoi ?", nous adoptons cette condition d'absolue nécessité, propriété de Être (Être est rationnel), pour principe de compréhension. Nous prenons pour vraie toute chose à condition qu'elle nous Paraisse fondamentalement Logique, qu'elle ne peut pas ne pas être, pour une autre et Ainsi (tels que nous sommes), ou du moins correspondante à notre connaissance d'Être.
Pour qu'il lui soit possible d'exister intentionnellement, l'humain, constatant ne pas être nécessairement suffisamment conscient (susceptible de, potentiellement dangereux), est obligé à se considérer responsable (autre nécessité communautaire, avec l'antinomique car instinctive morale), maître de lui (nécessité existentielle), à occulter, nous en avons le pouvoir, pour tout ce qui nous est inadmissible, y compris de nous-même (il s'agit de s'admettre à fin de s'accepter), sa relativité, son animalité, notre prédominante sentimentalité, directive, prédéterminant notre comportement.
Attitude paradoxale, justificatrice de l'effrayante et exemplaire (correctionnelle) punition (pulsionnelle vengeance: en colère, intense répulsion d'une injustice, rendre la douleur), entretenant la Violence, ayant occultés notre animalité, nous nous y adonnons, et nous y conditionnant, conscience en son état, nous projetons en l'autre notre désir d'être estimé conscient, responsable.
Pourtant, l'instruction, pouvoir vouloir se nourrir d'autrui, nous améliorant, nous libère de l'ignorance et de l'absence, élimine progressivement notre dangerosité (voilà le problème), "qu'en attendant nous écartons", suivant un jugement, l'estimation de la Qualité, pour "Compatibilité", d'une personne (si irresponsable, d'instinct coupable, autant pour nous que pour elle, donc corrigible, en la responsabilisant, l'instruisant. La morale pallie, dans la mesure du possible, les manques étatiques de connaissance et sensibilité permettant la compréhension).
En simple connaissance de cause et conséquence, pouvant nous déculpabiliser, soit abandonner la morale (le bien, vertueux, conservateur, et le mal, vicieux, destructeur, en sont les considérations, aussi directives), selon notre expérimentale et éducationnelle (spécifiquement différentielle) ignorance de l'autre (déjà de soi-même) et incapacité à s'y identifier (voir là la truanderie ou la guerre), accepter que notre responsabilité, aptitude à devoir répondre de nos actes, à pouvoir les expliquer et les assumer, est relative à notre personnalité, particulières composition et sensibilité, résultantes de la composite hérédité (la possibilité de couleur est infinie, à chacun celle de son apparente personnalité) et des sentimentales éducation et expérience, serait l'entrée en bienveillance, la voie de la sagesse, de l'incertitude.
Attitude paradoxale, justificatrice de l'effrayante et exemplaire (correctionnelle) punition (pulsionnelle vengeance: en colère, intense répulsion d'une injustice, rendre la douleur), entretenant la Violence, ayant occultés notre animalité, nous nous y adonnons, et nous y conditionnant, conscience en son état, nous projetons en l'autre notre désir d'être estimé conscient, responsable.
Pourtant, l'instruction, pouvoir vouloir se nourrir d'autrui, nous améliorant, nous libère de l'ignorance et de l'absence, élimine progressivement notre dangerosité (voilà le problème), "qu'en attendant nous écartons", suivant un jugement, l'estimation de la Qualité, pour "Compatibilité", d'une personne (si irresponsable, d'instinct coupable, autant pour nous que pour elle, donc corrigible, en la responsabilisant, l'instruisant. La morale pallie, dans la mesure du possible, les manques étatiques de connaissance et sensibilité permettant la compréhension).
En simple connaissance de cause et conséquence, pouvant nous déculpabiliser, soit abandonner la morale (le bien, vertueux, conservateur, et le mal, vicieux, destructeur, en sont les considérations, aussi directives), selon notre expérimentale et éducationnelle (spécifiquement différentielle) ignorance de l'autre (déjà de soi-même) et incapacité à s'y identifier (voir là la truanderie ou la guerre), accepter que notre responsabilité, aptitude à devoir répondre de nos actes, à pouvoir les expliquer et les assumer, est relative à notre personnalité, particulières composition et sensibilité, résultantes de la composite hérédité (la possibilité de couleur est infinie, à chacun celle de son apparente personnalité) et des sentimentales éducation et expérience, serait l'entrée en bienveillance, la voie de la sagesse, de l'incertitude.
Egalement obnubilés par l'avenir, souffrants (supportant le manque), l'Espérance (la confiance compense l'Incertitude) de bonheur, induite de l'enfance (l'étonnement), couvre notre Peur de l'inconnu.
Habituels sentiments contradictoirement incitatifs (prospectifs).
L'espérance, permanente, reposant sur le souvenir du bonheur ou du malheur, suscite la persistance, s'oppose à l'abandon (la dépression est l'effet du désespoir), et la peur suscite l'attention et l'intention, pour se préserver et progresser, mais incline (le contentement) à l'égoïsme (repliement sur soi) et invente le mensonge, dissimulation, de notre insuffisance, fragilité interprétée vulnérabilité, infériorité.
L'état du monde en est la conséquence, de la certitude et l'incompétence.
L'habitude neutralise la sensibilité (à la douceur), fors l'attention (l'art ou goût, hélas classé, en appartenance, essaie d'extérioriser l'apparition en sublimant l'idée, cultive l'émerveillement pour les soutenir), à l'ordinaire beauté de toute apparence ou idée, et tandis que le bonheur, d'être émerveillé, de connaître (apparaître), s'estompe, l'existentiel contentement (de la constante appétence), fondamental sentiment directeur, l'important, en perpétuel renouvellement (alternatif), perdure à sourire (aussi à chanter).
Ceci pour la phase agréable, à une époque et en un lieu sereins (relatifs à la connaissance), Conservatoire d'espoir.
L'estime de soi (sous ou sur évaluation), par défaut de confiance en soi (qualification), se projette, dès l'adolescence, en mépris (invalidant l'aide au plus faible), infériorisation de l'autre (supériorisation de soi).
Social mais masqué (virtuellement honteux), voilà l'inhibition, Comparaître, être l'autre, de l'autre.
Nous semblant maîtres de nous (certains), définis (identifiés) par nos possessions (concrètes et abstraites), la privation (où spoliation) et le mépris (où délaissement, ghettoïsation de la "classe" pauvre), l'injustice, provoquent la répulsion (ou l'injonction, autant faussée que l'obligation).
Voilà la désinhibition, l'impulsion à l'insoumission (l'Obligatoire Libération).
La Possession, illimitée, conférant le libératoire (mais relatif) pouvoir d'agir (total sans), est surtout, par la peur collective (multi-individuelle) de manquer de moyens de subsistance et d'espace, le principal prétexte de la primitive (sensationnelle) et instinctive (inconsciente) tuerie, à cause du moi, confronté au monde, l'assouvissement du pulsionnel besoin, qu'a l'homme, de dominance (insoumission, revanche sur l'obéissance due à l'existence), interdisant la compassion (seul l'animal, ignorant Être et ressentant, peut tuer).
Ne pouvant pas apparaître l'au delà de rien (de l'absence de tout, en réalité moins que l'espace vide), nous pressentons la mort (ordinaire) disparition et absence, corporelle (de l'objet), jamais définitive (du sujet).
La mort annihile la provisoire personnalité de l'âme, après que toute essentielle relation, particulière et générale, se soit estompée.
La conscience est de l'observance, de ce qui nous apparaît, inductive d'hypothèses (suppositoire).
Regarder, superposer à l'objet (Apparence) une composition d'idées (apparition), imprégnée d'un sentiment (aussi idéalisé).
La compréhension (interprétative) étant personnelle, la foi se confond à l'identité.
Voilà l'injurie, son appropriation (détention).
La communication, finalement globale, (extériorisation, principal partage), informative, est intentionnellement corrective ou progressive et Unificatrice par réciprocité.
(la dispute précède l'entente).
Attitude d'Aptitude.
Être (soi) là, d'autrui, avec, simplement connu, interactif et sincère, similaire et confessionnel, acceptable. Communicant.
La conscience humaine est réaliste, de qualité adaptative.
L'aptitude (essentielle sensibilité), à connaître (apparaître et mémoriser), à surpasser la réalité, à discerner le sujet de l'objet, la vérité de la réalité (pour apprendre), s'exerce uniquement par intérêt, personnel, ce qui nous Importe au monde, nous y intériorise.
Notre attitude, envers autrui, est appréciative, de nos conditions respectives.
Au monde, existant, en situation, s'adaptant, ayant des besoins, participant, aussi d'être maître de soi en son milieu, tentant d'être influent.
Occupés par notre corps, la subsistance et la commodité nous appliquent à la matière, esseulés par l'incompréhension, seuls parmi tous, isolés et inquiets, mais conformes en genre et culture, réconfortés par la similitude, sociables, chacun étant la vérité de tous.
Voilà l'ordinaire anormalité, contradictoire (une insuffisante aptitude cause l'inadmissible obéissance).
Insuffisamment conscients (approximatifs), obéissants, tenus, le cas échéant, d'abandonner notre individualité, obligatoirement soumis à la communauté à laquelle nous avons le sentiment d'appartenir, de crainte d'en être exclus ou qu'elle se désagrège faute d'obéissance (l'incompréhension en est la condition), la maintenant a priori (voilà pourquoi il est possible à quiconque de s'emparer du pouvoir), notre besoin d'être gouvernés (fait de coordination et normalisation) pour atteindre la sûreté (et, par défaut, la sécurité), s'altère en chefferie (domination, guerrière), légitimée par l'approbation générale (moyenne), le juste principe communautaire (cause du séparateur communautarisme), relatif au besoin le plus pressant, social ou identitaire, exercée, a contrario de la diversité des compétences requises, par ambition (ambigüe) et présomption, désinhibition masculine sous emprise névrotique commune.
Ainsi, tous les "gouvernements" abandonnent l'économie, assurant la provision (cause de notre activité), à la coercition financière, paradoxalement (l'étant) préférée à l'humaine (ou pas, partout où, par défiance envers le peuple, le droit est réprimé). La finance (économie monétaire, dont la pauvreté est l'incohérence factorielle), mondialement (par tous) considérée fonctionnelle, est dépositaire du pouvoir (d'agir).
Voilà l'antinomie, l'économie de marché, pratique globale cause de la conflictuelle compétition internationale, Matérielle (l'identité cultuelle rallie les hommes), aléatoire, dépendante de l'obligation ou la possibilité climatiques de produire, et corruptrice, dépendante de la peur du lendemain.
La Normalisation (civilisation) des mœurs (la même pour tous, laïque, pour une coexistence cohérente, ce qui n'interdit pas la distinction, si celle ci n'est ni exclusive ni substitutive), non pas finalement dictée, mais influencée par la monétisation de l'économie, tient, à cause de notre défaut, de l'ingérence, respectueuse du droit (de la possibilité), exigeant toute compétence, pour aboutir à l'équité.
Opportunistes et démagogues la dédaignent (ou s'en servent).
Voilà l'impéritie, internationalement exploitée (la démocratie est compassionnelle).
L'éthique, définition de la morale, est constitutionnelle.
L'instruction, transmission constituante (mise à niveau, en Harmonie), est institutionnelle.
En interdépendance, il appartient à chacun d'entreprendre selon sa compétence, seul critère admissible.
Parallèlement.
La tradition (ancienne façon), conservatrice, est péremptoire.
L'ignorance (l'enfer me ment comm'un, la misère en est la conséquence), condition humaine (incitative insuffisance, viabilité), de notre sentimentale, soit exacte, existence, salvatrice inconscience, contrariant le bonheur, favorisant le malheur, pour une humanité vivante, nécessite le recours quotidien à l'introspection, l'approche d'Être conscient, de l'éternité.
Voilà la religion, consolidant la communion humaine, mais locale (identitaire), effective (concrétise la foi, personnelle et partagée), injonctive (par reconnaissance de notre insuffisance, invite à suivre la morale, incluse en tous) et édifiante, renferme ordinairement, fors la foi, faite de confiance et d'espoir, aussi en la libératrice (tel est son dessein) science, anormalement contre nature, encore volontairement partiellement instruite, à laquelle seule la génération suivante s'adapte complètement.
Pouvoir de pourvoir.
L'aptitude (essentielle sensibilité), à connaître (apparaître et mémoriser), à surpasser la réalité, à discerner le sujet de l'objet, la vérité de la réalité (pour apprendre), s'exerce uniquement par intérêt, personnel, ce qui nous Importe au monde, nous y intériorise.
Notre attitude, envers autrui, est appréciative, de nos conditions respectives.
Au monde, existant, en situation, s'adaptant, ayant des besoins, participant, aussi d'être maître de soi en son milieu, tentant d'être influent.
Occupés par notre corps, la subsistance et la commodité nous appliquent à la matière, esseulés par l'incompréhension, seuls parmi tous, isolés et inquiets, mais conformes en genre et culture, réconfortés par la similitude, sociables, chacun étant la vérité de tous.
Voilà l'ordinaire anormalité, contradictoire (une insuffisante aptitude cause l'inadmissible obéissance).
Insuffisamment conscients (approximatifs), obéissants, tenus, le cas échéant, d'abandonner notre individualité, obligatoirement soumis à la communauté à laquelle nous avons le sentiment d'appartenir, de crainte d'en être exclus ou qu'elle se désagrège faute d'obéissance (l'incompréhension en est la condition), la maintenant a priori (voilà pourquoi il est possible à quiconque de s'emparer du pouvoir), notre besoin d'être gouvernés (fait de coordination et normalisation) pour atteindre la sûreté (et, par défaut, la sécurité), s'altère en chefferie (domination, guerrière), légitimée par l'approbation générale (moyenne), le juste principe communautaire (cause du séparateur communautarisme), relatif au besoin le plus pressant, social ou identitaire, exercée, a contrario de la diversité des compétences requises, par ambition (ambigüe) et présomption, désinhibition masculine sous emprise névrotique commune.
Ainsi, tous les "gouvernements" abandonnent l'économie, assurant la provision (cause de notre activité), à la coercition financière, paradoxalement (l'étant) préférée à l'humaine (ou pas, partout où, par défiance envers le peuple, le droit est réprimé). La finance (économie monétaire, dont la pauvreté est l'incohérence factorielle), mondialement (par tous) considérée fonctionnelle, est dépositaire du pouvoir (d'agir).
Voilà l'antinomie, l'économie de marché, pratique globale cause de la conflictuelle compétition internationale, Matérielle (l'identité cultuelle rallie les hommes), aléatoire, dépendante de l'obligation ou la possibilité climatiques de produire, et corruptrice, dépendante de la peur du lendemain.
La Normalisation (civilisation) des mœurs (la même pour tous, laïque, pour une coexistence cohérente, ce qui n'interdit pas la distinction, si celle ci n'est ni exclusive ni substitutive), non pas finalement dictée, mais influencée par la monétisation de l'économie, tient, à cause de notre défaut, de l'ingérence, respectueuse du droit (de la possibilité), exigeant toute compétence, pour aboutir à l'équité.
Opportunistes et démagogues la dédaignent (ou s'en servent).
Voilà l'impéritie, internationalement exploitée (la démocratie est compassionnelle).
L'éthique, définition de la morale, est constitutionnelle.
L'instruction, transmission constituante (mise à niveau, en Harmonie), est institutionnelle.
En interdépendance, il appartient à chacun d'entreprendre selon sa compétence, seul critère admissible.
Parallèlement.
La tradition (ancienne façon), conservatrice, est péremptoire.
L'ignorance (l'enfer me ment comm'un, la misère en est la conséquence), condition humaine (incitative insuffisance, viabilité), de notre sentimentale, soit exacte, existence, salvatrice inconscience, contrariant le bonheur, favorisant le malheur, pour une humanité vivante, nécessite le recours quotidien à l'introspection, l'approche d'Être conscient, de l'éternité.
Voilà la religion, consolidant la communion humaine, mais locale (identitaire), effective (concrétise la foi, personnelle et partagée), injonctive (par reconnaissance de notre insuffisance, invite à suivre la morale, incluse en tous) et édifiante, renferme ordinairement, fors la foi, faite de confiance et d'espoir, aussi en la libératrice (tel est son dessein) science, anormalement contre nature, encore volontairement partiellement instruite, à laquelle seule la génération suivante s'adapte complètement.
Pouvoir de pourvoir.
Toujours sentimentale et relative à son aptitude.
Par ignorance de la justice (sociale), le primitif autoritarisme, pour imposer l'ordre (l'automatisation? La domination, compensatoire, est sa seule vérité, inavouable), sous prétexte (trahison), fondé sur les régressives dépendance et obéissance (aussi instrumentalisées pour servir la répression. Voir là des gens armés, asservis par la dominance), est propice à la prédation, que les insuffisances matérielle et spirituelle permettent.
République (déclinée !), plus de chef. Toute décision doit être exclusivement collective, faire l'unanimité en complémentarité, atteindre le consensus par concession.
Voilà la démocratie (arbitrale), relative à l'instruction, Désirée (espérée), à inventer (sans prédominance).
Mais une conviction (relative à soi) est consistante, assure et valorise.
Voilà la rétrogression, l'adoption d'un ersatz de démocratie, d'un autoritarisme plus ou moins "modéré".
La certitude (savoir est absolu), stabilisatrice, justifiant la conviction, occultant le doute (l'ignorance), est mensongère, ce qui implique de s'abstenir de toute détermination.
Liberté: maîtrise de soi \ sentimentale.
Egalité: de qualité affine \ estimable.
Fraternité: en communion \ identifiable.
La communauté, individuelle coexistence, existentielle communion, amicale, chacun découvre l'Autre, s'accorde, tend à aimer, partager, condition naturelle, est préventive.
Son principe est l'entraide et son dessein, le bien-être (de chacun).
Elle implique la sincérité et la réciprocité, la confiance.
Son système de fonctionnement, l'échange, est caduc. Les centralisation et automatisation de la production sont exclusives, aussi de la distribution.
Voilà la précarité, les circulation et répartition monétaires sont contrariées.
Les production, distribution et communication se mondialisent, réunissent les identités et généralisent les opinions, anarchiquement.
Voilà le nationalisme, général (identité nationale), primitif tribalisme demeurant et subordonnant (la douceur des uns est par la douleur des autres, frauduleuse et prédatrice imitation de la nature), territorialement consolidé (par la possession), contrôlable, suscitant l'autoritarisme, contrariant toute résolution de Nos problèmes, mondiaux (généraux, aucune nation ne peut complètement s'isoler), préservatif de la relative et subjective définition de soi, contemporaine, par appréhension de la changeante et perturbante (mélange les cultures, éduquées ou inculquées) évolution globale (l'histoire du monde), éventuellement accentué par la nostalgie, d'une sentimentale identité, particulière et générationnelle, identification communautariste, excluante appartenance, prétextant toute dissemblance, incompatible faute de communication interculturelle. Voilà l'étranger, ressenti inférieur ou parasite, comme infectieux.
Europe, voilà un nouvel entre-nous, continental et monopolistique.
Le communautarisme, déjà instinctif, animal, autant que la possession, nous séparant et nous isolant, réduit le monde, sur lequel s'applique la morale, à l'appartenance (en dehors tout est comme faux), se résoudra par la coopération, niveleuse de l'état général.
L'identité, culturelle et cultuelle, est expansible, mais nous craignons de manquer (Finalement de nourriture, d'eau potable et d'oxygène).
Chaque jour renaît le monde, depuis je suis du passé (mon constituant). J'y demeure après chaque pas (vers l'avenir, espérant).
Un monde argenté (monnayé).
Pas d'appât apporterait l'apathie, fors l'appétence.
L'existence est nécessairement commune, associative, participative.
La participation (Agir) intègre, l'isolement (l'Ennui) désintègre.
Mais nous doutons de l'intégrité (la valeur) de notre prochain (l'inconnu).
Pour le (nous) contraindre (liberticide Désobligeance, soumission) à participer (travailler, quelque soit la tâche, normale chez soi), nous avons conditionné (réservé aux participants) notre subsistance à la possession, supprimé le partage, imposé l'échange.
Voilà la participative entraide convertie (oubliée) en concurrentiel mérite (est-ce un mal nécessaire ?), jugement affectivement compensatoire et inégalement classificatoire (autre ou sur-appartenance, à une classe fonction de l'accessibilité à l'instruction). Toute fonction étant indispensable, la hiérarchie, coordination de la coopération, n'impliquant pas l'obéissance mais la compétence, ne devrait pas être une échelle de valeur.
Toute nécessaire fonction est inestimable. Ce qui pose l'égalité (de droit).
L'échange des produits et services (du travail), théoriquement équitablement déterminé (pratiquement fonction de la rareté) en quantité et qualité (numéral), est facilité (simplifié) par l'invention d'une Valeur intermédiaire concrète (aujourd'hui virtuelle) l'argent, capital, non proportionnel à la somme des besoins de la population.
Voilà notre existence, situationnelle et relationnelle, où se mêlent, pour le bonheur, conditions et illusions, assujettie à l'argent, dépendante de ce moyen (en avoir) et de sa finalité (en vouloir), de cette conversion (le moyen est devenu le but) du Pouvoir d'agir, le restreignant, nous aliénant. La possession, "dominatoire", ainsi semblant libératoire (autant que la transgression), en réalité nous possède et renforce notre obéissance ou soumission par la crainte de manquer.
Voilà la mondiale "monnaicratie", dont l'abus, la spéculation, déstabilise l'échange et Affranchit du travail.
L'utilisation (accaparement) de l'argent implique la sélection, l'exclusion du bien et des personnes, sa dictature et sa criminogène avidité, nous conditionnant.
Voilà l'ineptie, sa consécration.
La possession (échangeable), considération rassurante (stabilisante) et valorisante (obsédante, invalide son pouvoir, de secourir, naturel sans), substituée au partage, nous disjoint par le dévoiement de notre Intention (s'efforcer de Contenter, cultiver le bien être).
Profiter (se satisfaire), voilà tout ce dont à quoi nous serions capables d'être intéressés.
Voilà la déviance en indifférence, la désocialisation (marginalisation).
L'égoïsme (également communautaire, identitaire), certes Avidement Motivant, à défaut de la commune, réciproque, intention, sentimentale et raisonnable, est isolationniste et oppositionnel, l'amitié s'est rarifiée, nous sommes devenus autant adversaires que partenaires.
Sans l'argent, contrariant toute fonction, tout est possible (nul coût).
L'activité est naturellement intentionnelle (nulle contrainte).
La possession normale, nécessité individuelle (attachement personnel), est une convention interdisant aux autres de pouvoir disposer de quelques choses. Anormalement démesurée et généralisée, érigée en principe actif du travail, elle est devenue la condition de notre pouvoir d'agir.
Attachés à notre milieu et ses certitudes, la liberté, l'illusion d'être maître de soi, exclusivement rationnel, contrôlant nos sentiments, parfaite conscience, suffisamment savante, est en acceptation (de soi) de l'obligation, d'être lié (aimant, aussi passionné), en fonction, ainsi naturellement interdépendant (intégré), et de progresser (s'accomplir) afin que chacun dispose de tout ce dont il a besoin (désir, autant évident qu'insidieux, permanent), le conditionnant à sa mesure, personnelle (sensée être individuelle).
Voilà la liberté (non absolue), l'absence de toute contrainte, la négation de l'obéissance, une de nos nécessaires principales quêtes avec la vertueuse humanité (conditionnelles, jamais acquises).
Si l'ignorance est la condition de notre existence (consciences, nous sommes nécessairement inconscients. Nous ne savons pas, nous agissons selon ce que nous connaissons, ce qui nous est apparu, fors la morale de notre identitaire monde), la connaissance, provisoire car progressive, est celle de notre liberté dont le principe est la volonté, l'intentionalité (être soi, adapté, non inadapté, conditionné).
Voilà la démocratie (arbitrale), relative à l'instruction, Désirée (espérée), à inventer (sans prédominance).
Mais une conviction (relative à soi) est consistante, assure et valorise.
Voilà la rétrogression, l'adoption d'un ersatz de démocratie, d'un autoritarisme plus ou moins "modéré".
La certitude (savoir est absolu), stabilisatrice, justifiant la conviction, occultant le doute (l'ignorance), est mensongère, ce qui implique de s'abstenir de toute détermination.
Liberté: maîtrise de soi \ sentimentale.
Egalité: de qualité affine \ estimable.
Fraternité: en communion \ identifiable.
La communauté, individuelle coexistence, existentielle communion, amicale, chacun découvre l'Autre, s'accorde, tend à aimer, partager, condition naturelle, est préventive.
Son principe est l'entraide et son dessein, le bien-être (de chacun).
Elle implique la sincérité et la réciprocité, la confiance.
Son système de fonctionnement, l'échange, est caduc. Les centralisation et automatisation de la production sont exclusives, aussi de la distribution.
Voilà la précarité, les circulation et répartition monétaires sont contrariées.
Les production, distribution et communication se mondialisent, réunissent les identités et généralisent les opinions, anarchiquement.
Voilà le nationalisme, général (identité nationale), primitif tribalisme demeurant et subordonnant (la douceur des uns est par la douleur des autres, frauduleuse et prédatrice imitation de la nature), territorialement consolidé (par la possession), contrôlable, suscitant l'autoritarisme, contrariant toute résolution de Nos problèmes, mondiaux (généraux, aucune nation ne peut complètement s'isoler), préservatif de la relative et subjective définition de soi, contemporaine, par appréhension de la changeante et perturbante (mélange les cultures, éduquées ou inculquées) évolution globale (l'histoire du monde), éventuellement accentué par la nostalgie, d'une sentimentale identité, particulière et générationnelle, identification communautariste, excluante appartenance, prétextant toute dissemblance, incompatible faute de communication interculturelle. Voilà l'étranger, ressenti inférieur ou parasite, comme infectieux.
Europe, voilà un nouvel entre-nous, continental et monopolistique.
Le communautarisme, déjà instinctif, animal, autant que la possession, nous séparant et nous isolant, réduit le monde, sur lequel s'applique la morale, à l'appartenance (en dehors tout est comme faux), se résoudra par la coopération, niveleuse de l'état général.
L'identité, culturelle et cultuelle, est expansible, mais nous craignons de manquer (Finalement de nourriture, d'eau potable et d'oxygène).
Chaque jour renaît le monde, depuis je suis du passé (mon constituant). J'y demeure après chaque pas (vers l'avenir, espérant).
Un monde argenté (monnayé).
Pas d'appât apporterait l'apathie, fors l'appétence.
L'existence est nécessairement commune, associative, participative.
La participation (Agir) intègre, l'isolement (l'Ennui) désintègre.
Mais nous doutons de l'intégrité (la valeur) de notre prochain (l'inconnu).
Pour le (nous) contraindre (liberticide Désobligeance, soumission) à participer (travailler, quelque soit la tâche, normale chez soi), nous avons conditionné (réservé aux participants) notre subsistance à la possession, supprimé le partage, imposé l'échange.
Voilà la participative entraide convertie (oubliée) en concurrentiel mérite (est-ce un mal nécessaire ?), jugement affectivement compensatoire et inégalement classificatoire (autre ou sur-appartenance, à une classe fonction de l'accessibilité à l'instruction). Toute fonction étant indispensable, la hiérarchie, coordination de la coopération, n'impliquant pas l'obéissance mais la compétence, ne devrait pas être une échelle de valeur.
Toute nécessaire fonction est inestimable. Ce qui pose l'égalité (de droit).
L'échange des produits et services (du travail), théoriquement équitablement déterminé (pratiquement fonction de la rareté) en quantité et qualité (numéral), est facilité (simplifié) par l'invention d'une Valeur intermédiaire concrète (aujourd'hui virtuelle) l'argent, capital, non proportionnel à la somme des besoins de la population.
Voilà notre existence, situationnelle et relationnelle, où se mêlent, pour le bonheur, conditions et illusions, assujettie à l'argent, dépendante de ce moyen (en avoir) et de sa finalité (en vouloir), de cette conversion (le moyen est devenu le but) du Pouvoir d'agir, le restreignant, nous aliénant. La possession, "dominatoire", ainsi semblant libératoire (autant que la transgression), en réalité nous possède et renforce notre obéissance ou soumission par la crainte de manquer.
Voilà la mondiale "monnaicratie", dont l'abus, la spéculation, déstabilise l'échange et Affranchit du travail.
L'utilisation (accaparement) de l'argent implique la sélection, l'exclusion du bien et des personnes, sa dictature et sa criminogène avidité, nous conditionnant.
Voilà l'ineptie, sa consécration.
La possession (échangeable), considération rassurante (stabilisante) et valorisante (obsédante, invalide son pouvoir, de secourir, naturel sans), substituée au partage, nous disjoint par le dévoiement de notre Intention (s'efforcer de Contenter, cultiver le bien être).
Profiter (se satisfaire), voilà tout ce dont à quoi nous serions capables d'être intéressés.
Voilà la déviance en indifférence, la désocialisation (marginalisation).
L'égoïsme (également communautaire, identitaire), certes Avidement Motivant, à défaut de la commune, réciproque, intention, sentimentale et raisonnable, est isolationniste et oppositionnel, l'amitié s'est rarifiée, nous sommes devenus autant adversaires que partenaires.
Sans l'argent, contrariant toute fonction, tout est possible (nul coût).
L'activité est naturellement intentionnelle (nulle contrainte).
La possession normale, nécessité individuelle (attachement personnel), est une convention interdisant aux autres de pouvoir disposer de quelques choses. Anormalement démesurée et généralisée, érigée en principe actif du travail, elle est devenue la condition de notre pouvoir d'agir.
Attachés à notre milieu et ses certitudes, la liberté, l'illusion d'être maître de soi, exclusivement rationnel, contrôlant nos sentiments, parfaite conscience, suffisamment savante, est en acceptation (de soi) de l'obligation, d'être lié (aimant, aussi passionné), en fonction, ainsi naturellement interdépendant (intégré), et de progresser (s'accomplir) afin que chacun dispose de tout ce dont il a besoin (désir, autant évident qu'insidieux, permanent), le conditionnant à sa mesure, personnelle (sensée être individuelle).
Voilà la liberté (non absolue), l'absence de toute contrainte, la négation de l'obéissance, une de nos nécessaires principales quêtes avec la vertueuse humanité (conditionnelles, jamais acquises).
Si l'ignorance est la condition de notre existence (consciences, nous sommes nécessairement inconscients. Nous ne savons pas, nous agissons selon ce que nous connaissons, ce qui nous est apparu, fors la morale de notre identitaire monde), la connaissance, provisoire car progressive, est celle de notre liberté dont le principe est la volonté, l'intentionalité (être soi, adapté, non inadapté, conditionné).
L'utopie est la perfection (l'individualisme, intentionnel: toute conscience oeuvre pour toutes, d'où toutes pour toute. Son bonheur, à son gré, est la finalité de la société) inaccessible par défaut ou nécessité (la personnalité, l'adéquate car Liante imperfection).
Inconditionnel, le revenu universel serait le premier pas d'une utopique reconversion à la participation, au volontariat, à avoir confiance en son prochain, à ne pas le mépriser comme soi même.
Le profit prédominant le constant Désir, d'exister lié et libre, content de contenter, l'identification, la valorisation et la possession hors norme (les armes de l'organisme) nous tuent (régulent notre nombre ou espace).
Est-il encore possible de s'adapter à un monde juste, d'intentionnel partage, fondé non pas sur le mérite et l'obéissance, mais sur la confiance (en la compétence), que l'instruction et l'information conditionnent, que l'appétence et l'incertitude stimulent ?
Y participerais-tu ?
(Il est des mondes finalement en communion, mais n'étant plus surpris).
A l'âge de la survivance.
La cause (nécessité) est qualitative ou effective (existentielle), mais non créative. Seule la réalité est perceptible, influente. L'irréel, quelque soit toute tentative, demeure inexistant.
Conduite pour possible, l'existence ruisselle de douleurs en douceurs, entre malheur et bonheur selon la variété des conditions d'existence (aussi inévitablement migratoire, conflictuelle à cause de notre pauvreté).
Exister, voilà la prédétermination, la préservation (instinctive, innée, ancestrale acquisition).
Voilà la Prégnante Obligation (inéluctable incitation naturelle ou morale) de faire (assouvir ou subvenir) ce qui est indispensable (s'entraider, à cause de la diversité des besoins, engendrant l'empathie).
L'obligation, involontaire, comporte son propre déni, résultant de notre quiddité, l'illusoire libre arbitre, l'intentionnalité (parce que mortels), conditionnelle (l'existence est conservatoire). Voilà l'antinomique nécessité (nécessaire anti-nécessité).
Pour nous convaincre d'être maîtres de nous même, nous agréons l'illusion d'avoir la faculté (possibilité) de choisir (préférer le meilleur, selon notre aléatoire personnalité), ce que la morale et notre raisonnement (le suivi de la causalité, non inventé), induit de notre incomplète et particulière connaissance (au préalable relative à un lieu et une époque), affectivement et possiblement acquise, soit de notre sensibilité, dont la mémoire, qualitativement et partiellement constituée, est l'instrument, nous imposent (nous obligent au soulagement, non nous contraignent), de devoir vouloir, de nous comporter conformément à nos genres et au tenant, la connaissance ou l'ignorance, et aboutissant, la paix ou la contrainte, soit relativement à la qualitative conviction, définissant notre agissement.
A postériori, nous ne choisissons pas, nous nous contentons. Il n'est pas de pur choix, sans cause ni condition, mais hypothétique puisqu'avec étant prédéterminé (bon ou mauvais), relatif à notre personnalité et déjà instinctif.
Voilà l'adaptativité (actifs, nous ne pouvons pas ne pas faire, ce que nous devons faire), réactionnelle et progressive, aussi directive (la nécessité nous commande, telle que nous la comprenons).
Cette illusion, irréelle mais véritable, nous permet d'exister, décisionnaires (ainsi adultes), observateurs, le devant, sinon apathiques. Mais elle implique la certitude (nous sommes imprégnés de convictions conditionnelles, résultantes de la constitutionnelle méconnaissance), nous soulageant irréversiblement, éclairés, éblouis, d'où notre comportement, à l'extrême, destructeur de l'Objet.
Voilà donc notre ultime espoir, atteindre l'absolu, quitter la réalité, s'en libérer, fors et sauve l'intention.
Nous en sommes essentiellement vrais, comme avoir (posséder) est existentiellement définitoire (Avoir, des besoins, aussi de se définir, ainsi que le monde, ignorant ce que nous sommes). Nous sommes erronés, de certitudes contradictoires (névrosés, désirant, nostalgiques).
Conduite pour possible, l'existence ruisselle de douleurs en douceurs, entre malheur et bonheur selon la variété des conditions d'existence (aussi inévitablement migratoire, conflictuelle à cause de notre pauvreté).
Exister, voilà la prédétermination, la préservation (instinctive, innée, ancestrale acquisition).
Voilà la Prégnante Obligation (inéluctable incitation naturelle ou morale) de faire (assouvir ou subvenir) ce qui est indispensable (s'entraider, à cause de la diversité des besoins, engendrant l'empathie).
L'obligation, involontaire, comporte son propre déni, résultant de notre quiddité, l'illusoire libre arbitre, l'intentionnalité (parce que mortels), conditionnelle (l'existence est conservatoire). Voilà l'antinomique nécessité (nécessaire anti-nécessité).
Pour nous convaincre d'être maîtres de nous même, nous agréons l'illusion d'avoir la faculté (possibilité) de choisir (préférer le meilleur, selon notre aléatoire personnalité), ce que la morale et notre raisonnement (le suivi de la causalité, non inventé), induit de notre incomplète et particulière connaissance (au préalable relative à un lieu et une époque), affectivement et possiblement acquise, soit de notre sensibilité, dont la mémoire, qualitativement et partiellement constituée, est l'instrument, nous imposent (nous obligent au soulagement, non nous contraignent), de devoir vouloir, de nous comporter conformément à nos genres et au tenant, la connaissance ou l'ignorance, et aboutissant, la paix ou la contrainte, soit relativement à la qualitative conviction, définissant notre agissement.
A postériori, nous ne choisissons pas, nous nous contentons. Il n'est pas de pur choix, sans cause ni condition, mais hypothétique puisqu'avec étant prédéterminé (bon ou mauvais), relatif à notre personnalité et déjà instinctif.
Voilà l'adaptativité (actifs, nous ne pouvons pas ne pas faire, ce que nous devons faire), réactionnelle et progressive, aussi directive (la nécessité nous commande, telle que nous la comprenons).
Cette illusion, irréelle mais véritable, nous permet d'exister, décisionnaires (ainsi adultes), observateurs, le devant, sinon apathiques. Mais elle implique la certitude (nous sommes imprégnés de convictions conditionnelles, résultantes de la constitutionnelle méconnaissance), nous soulageant irréversiblement, éclairés, éblouis, d'où notre comportement, à l'extrême, destructeur de l'Objet.
Voilà donc notre ultime espoir, atteindre l'absolu, quitter la réalité, s'en libérer, fors et sauve l'intention.
Nous en sommes essentiellement vrais, comme avoir (posséder) est existentiellement définitoire (Avoir, des besoins, aussi de se définir, ainsi que le monde, ignorant ce que nous sommes). Nous sommes erronés, de certitudes contradictoires (névrosés, désirant, nostalgiques).
L'humain (déchu) naît Aimant (en liante attirance),
Puis, en adaptation, s'installe, continuellement.
Cependant Aspire toujours à communier, réellement en partageant, intimement confondu (goûtant de tout sens).
Sauvage (tenté) et domestiqué (rendu).
Naturel et normalisé.
Ne pouvant qu'être ainsi, essentiellement dual, sentimental raisonnant, causal de et en toute circonstance, obligé à sa qualitative Possibilité, de s'améliorer (nous éprouvons forcément les sentiments liés à notre histoire personnelle, conjuguée aux autres) par la connaissance. Seule la constituante instruction, progressive, est libératrice (à devenir oisif ou contemplatif), elle tempère notre animalité.
En état de connaissance, nous apparaissons ce que nous ressentons, ne percevons pas ce qui est (l'erreur est d'être sûr, même à en avoir besoin).
Bientôt débridés, reconvertis d'obéissants, collectivement solitaires, en participants, individuellement solidaires.
Revoilà la Confiance, aussi en la naturelle providence.
Mondialement communicante, l'humanité se reconnaît.
Avertie, elle se réincorpore à l'obligation de soin du corps, au respect de sa diversité.
Voilà un monde qui, après avoir perdu (souillé) son paradis (la multitude), pourrait ne pas s'achever (notre nature est à contre sens, sujet de l'objet, il nous appartient de la renverser ou suivrait une longue agonie, brutale).
La sensation, radiante, est profondément et universellement communicative.
Chaque cellule (composante sensitive, s'unifiant par attractive similitude) existe, (nous le sommes le plus souvent) primitive conscience née d'une âme.
Là, présent (partageant douceur et douleur), Être (Générateur, de la beauté et la pollinisation ou sexualité) inspire des sentiments, voilà l'intuition, que nous ressentons en fondamentale communion, la conscience en Transpire d'autres, voilà l'instinct.
La conscience (de ce qui est) est perpétuellement renouvelée, constamment nouvelle, remise au monde, obligatoirement réactive (perceptive, apparitrice, découvre). Le présent, temps de l'éternelle jeunesse, de la vérité (de la méconnaissance), demain sera passé, Aujourd'hui est souvenir.
Nous nous complétons (notre originelle constitution) de tout ce que nous sentons, percevons et apparaissons, en un milieu et à une époque. Cette reconstitution, identitaire, est subjective (la réalité ne nous définit pas, elle nous porte), mentale (culturelle), ainsi vraie puisqu'essentielle, mais non immuable, générationnelle.
Omniprésente et inévitable, la mort tente l'homme, connaissant d'être provisoire, d'être au dessus de tout (voilà notre inclination à la tuerie), déjà de cette mouche.
Puis, en adaptation, s'installe, continuellement.
Cependant Aspire toujours à communier, réellement en partageant, intimement confondu (goûtant de tout sens).
Sauvage (tenté) et domestiqué (rendu).
Naturel et normalisé.
Ne pouvant qu'être ainsi, essentiellement dual, sentimental raisonnant, causal de et en toute circonstance, obligé à sa qualitative Possibilité, de s'améliorer (nous éprouvons forcément les sentiments liés à notre histoire personnelle, conjuguée aux autres) par la connaissance. Seule la constituante instruction, progressive, est libératrice (à devenir oisif ou contemplatif), elle tempère notre animalité.
En état de connaissance, nous apparaissons ce que nous ressentons, ne percevons pas ce qui est (l'erreur est d'être sûr, même à en avoir besoin).
Bientôt débridés, reconvertis d'obéissants, collectivement solitaires, en participants, individuellement solidaires.
Revoilà la Confiance, aussi en la naturelle providence.
Mondialement communicante, l'humanité se reconnaît.
Avertie, elle se réincorpore à l'obligation de soin du corps, au respect de sa diversité.
Voilà un monde qui, après avoir perdu (souillé) son paradis (la multitude), pourrait ne pas s'achever (notre nature est à contre sens, sujet de l'objet, il nous appartient de la renverser ou suivrait une longue agonie, brutale).
La sensation, radiante, est profondément et universellement communicative.
Chaque cellule (composante sensitive, s'unifiant par attractive similitude) existe, (nous le sommes le plus souvent) primitive conscience née d'une âme.
Là, présent (partageant douceur et douleur), Être (Générateur, de la beauté et la pollinisation ou sexualité) inspire des sentiments, voilà l'intuition, que nous ressentons en fondamentale communion, la conscience en Transpire d'autres, voilà l'instinct.
La conscience (de ce qui est) est perpétuellement renouvelée, constamment nouvelle, remise au monde, obligatoirement réactive (perceptive, apparitrice, découvre). Le présent, temps de l'éternelle jeunesse, de la vérité (de la méconnaissance), demain sera passé, Aujourd'hui est souvenir.
Nous nous complétons (notre originelle constitution) de tout ce que nous sentons, percevons et apparaissons, en un milieu et à une époque. Cette reconstitution, identitaire, est subjective (la réalité ne nous définit pas, elle nous porte), mentale (culturelle), ainsi vraie puisqu'essentielle, mais non immuable, générationnelle.
Omniprésente et inévitable, la mort tente l'homme, connaissant d'être provisoire, d'être au dessus de tout (voilà notre inclination à la tuerie), déjà de cette mouche.
Si l'existence est en partage, affectif, de l'universelle présence de toute conscience (compagne, même mouche), il faut sa durée pour apprendre à regarder (être guéri de notre névrose), pour pouvoir voir et goûter l'odeur des choses, leurs musicales couleurs (idées, sensationnelles apparitions, par lesquelles nous communions intensément), particulières et ambiantes, être Pleine conscience (nourrie), amoureuse (tombée hors de la raison), de l'avoir été, enfant, tendrement aimée.
Nous reconnaissons l'inné et subconscient savoir (Être et l'âme), mais cette reconnaissance est confusionnelle.
Ainsi La Réponse, Finale, est en nous, nous nous en préserverons jusqu'au bout.
Ainsi La Réponse, Finale, est en nous, nous nous en préserverons jusqu'au bout.
Existant, en situation et relation, comment aimer tout autre alors qu'il est hors de nous ?
Pourquoi comprendre (goûter, se confondre en tout) ? Être, où ?
Pourquoi comprendre (goûter, se confondre en tout) ? Être, où ?
Le bonheur, de contenter à émerveiller, est vécu, ignoré, espéré et remémoré.
Vois là, aussi étroite qu'elle soit, la communion, car tout (toi aussi) Est d'aimer Être, en partage, toute chose et personne (communiant).
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