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mardi 8 mai 1973

Être de Être.

'Est, Là,
Apparent, en Conscience,
Matière, en Mouvement.

La conscience Existe, 
Sensation en croissance,
Perception en déplacement,
Apparition et communication,
Inaccomplie.

Être Est Conscient.



           Conscience d'Être.

En devenir, à jamais consciente (inadmissiblement innocente).

Corporelle (sensorielle) et juxtaposée est en délivrance, Décisionnelle (intentionnalité).
Socialisée (Contenter, ainsi soi, oblige), se réfère à la morale, instinctive loi (nécessité).
Devoir le droit (au bonheur) d'autrui (réciprocité, du rapport humain) en est l'application.
La transgression est culpabilisante, désintègre, mais notre Etat, déterminant.

Le moi (isolante conscience de soi, d'être), appréhendant d'être en dehors de tout (comme vide), s'assimile, s'identifie au milieu dont il est imprégné, le réintègre.
Cette identification (retranchement) est d'une aperception (voir là la qualité de notre essence) réduite (possible) du monde.
Lorsque deux identités (attachement) se rencontrent, leurs paraissant étranges (autrement), elles craignent l'inconnu et d'être envahies (mélangées), soit de perdre leur propriété (aléatoire, situationnelle) et s'y enferment, les rendant exclusives et indifférentes. Elles se réinventent en race (appartenance, racisme).
Ordinaire, la compassion (ainsi le droit) est identitaire.
Arbitraire, l'Identité consiste et disloque, divise, prédispose au conflit, régulateur, que l'inquiétude générale provoque.
Sinon, la procréation est nécessairement naturellement conditionnée à l'appétence, l'attirance et la possibilité, avec l'espérance et la disposition pour l'humaine.

Autre est de même.
Il n'est d'autre (moi, que j'identifie ou que j'ignore), différent (comparatif élémentaire), aussi d'aspect, de culture et de langage (identique, loué en peuple), par adaptation à des lieux isolés, qu'entre éléments du même genre (conscience végétale-animale-humaine).
   
La conscience d'Être, réflective (miroir), subjective et qualitative, est En elle l'unique (aussi de composition, personnalisée) au monde (Apparente, en visage, expressif), en définition (déterminée, prospective), (co)existante (communicant, soit relationnelle et interactive, réaliste) et en Besoins (désireuse et progressive, insatisfaite).
Notre essence, interne, est par notre existence, externe. L'intériorité (l'unicité favorise l'égoïsme) délie (libère), nécessite de se relier (se réadapter), de rentrer en délivrance, de se libérer constamment de soi, d'extérioriser son moi, d'exister.

Surprise (décontenancée), est interrogative (incitée à se compléter, à comprendre),
Soit Sentimentale (sentimentalité, sensation animale permanente, innée),
Voir là nôtre essence primordiale (comportementale).
Voir là (connaître), toute chose, imperceptible, abstraite (genres ou fonctions et rapports en composition plus ou moins complexe ou habituelle, tous nommés, Connus), nous apparaît (n'est qu'en conscience humaine, sinon n'est que l'apparente matière, perçue par l'animal. Toute la conscience étant en et d'elle-même, sensation, végétale).
Voilà l'apparition, l'illusion de voir, ainsi savoir, la vérité (notion résultante, par méconnaissance, de l'inévitable et perpétuelle erreur).

Comprendre (admettre), reconnaître en toute chose son absolue nécessité (conduit notre accomplissement) en identifiant, au plus proche de l'exactitude, leur Aperçu aux élémentaires apparues (Idées, Mémorisées, Constituantes, aussi innées). Pour communiquer, auparavant à nous même étant post-existants, nous traduisons instantanément une composition à la fois sentimentale et idéale (mentalement apparente, universelle) en verbale (communicable), et vice versa, de désignation en apparition.

Nous sommes apparition de tout, aussi idée de nous même, nous sommes est.



             Tout est relatif, à la Qualité.

La conscience émane de la matière, résulte de la fonction organique. Voilà son essentielle existence.
Le corps est réalité (instrument), la conscience, vérité (tout en un, là).
Voilà la sujétion. Le sujet est de l'objet, substance constructive et destructible.
(Les consciences végétale et animale sont objectives, réellement adaptées).

L'Apparence, principale qualité d'Être, non pas primaire mais primordiale (superficielle à la matière, est en conscience, Plénitude de formes, couleurs, odeurs et saveurs, ordinaires merveilles), Extérieur infini, est perçue de son (a un) intérieur,
D'où la Matière, Intérieur logique, plein (ainsi domaine fondamental, l'Objet), aussi infini, divisé (morcelé), contient son extérieur (l'extérieur est à l'intérieur de son intérieur).
Vraie Réalité ou réelle Vérité, Tout, composition d'éléments duals (variables), se maintient en équilibre entre attraction et répulsion (dû à la rotation, productrice de la friction, la combustion, l'attraction), ainsi entre amour et haine (nous haïssons par amour).

L'évolution est la qualité du mouvement (formateur de l'univers).
Mouvement, l'existence, intégration de la conscience à la matière, soit présence matérielle, est évolutive.
La conscience applique à son sujet la qualité de son existence.
Voilà le "temps", résultant, l'écoulement de l'existence, à sa vitesse.
Voilà l'advenant mais passant Présent, résultat et fondement, Seul et Unique, universel (le même partout).
Être, réellement temporel, mais ne pouvant pas ne pas être, n'a pas d'origine, n'a pas été créé.

(Infinie et multiple, la présence est élémentaire. En mouvement, la matière est ordonnée de l'élément à l'ensemble).



            Pourquoi toi ?

L'être d'une conscience suffit, assuré par la Multiplicité.
Pour autant, l'absence d'une conscience y annihilerait Être.
Est donc toute conscience, aussi celle toi.
Mais, par la qualité de son existence, la conscience est mortelle (croissances limitées).
Soit une conscience est conçue à partir d'un élément éternel, l'Âme.
Portée par une indivisible particule (poussière), l'âme prend corps (intégrant une partie de la personnalité) par (voilà la motivation animale) la régulatrice nutrition, absorbée et réincorporée ou recomposée en graine, pré-conscience produite possiblement par millions.
Chaque conscience est ainsi perpétuellement totalement renouvelée.
A l'infini, il ne manque aucune âme.
L'âme est l'élément de Être et la conscience, sa substance (en un même corps, d'un Être conscient).
Être est de la communion intégrale (individuellement intérieure) de toute la conscience, végétale, animale et humaine.



            Destin.

La graine porte la forme.
La forme résulte de l'adaptation
(à tout milieu et changement).

L'existence est interactive,
L'interaction est successive,
Sa destination est inexorable
(d'apparaître à disparaître).

L'humain, préoccupé par l'avenir, est acteur, de son destin, décisionnaire de sa normalité, d'où l'intentionnalité, constante.



            Usage de la termitière.

Notre milieu (environnement ? Nous !) est scientifiquement conditionné, artificiel (fonctionnel), succès damné de Nature.

Savoir pour pouvoir, changer, combler l'ignorance, corriger l'erreur.
Vouloir (de devoir à pouvoir) se contenter du nécessaire et suffisant (non Conforté), ne pas vouloir paraître capable, jusqu'à pouvoir renoncer à la satisfaction.

Voilà l'inexorable consomption de monde (d'une conscience, universel brin d'herbe),
Fatale, faute à l'isolement identitaire (déjà élémentaire) et trois niveaux mondiaux de développement économique Monétaire, de besoins (d'envies irrépressibles), de surcroît à l'incrédibilité de la fin (agonie, prémices effectives, en cette époque démentielle de communication personnellement satisfaisante ou séduisante, ni instructive ni informative, particulariste) de notre monde, admis (comme La) Création (temporelle, ayant un commencement), divine (éternelle, sans fin), ou spontanée (explosion de rien), à y être résigné, à l'impossibilité (occultée) de l'éviter.

La conscience humaine est distincte de son corps, d'où de la nature.
La nature est le corps, proche de la perfection (la réalité est exacte), de la conscience.
Combinée, en complète interdépendance, la diversité assure sa continuité, Diffère sa dégénérescence (sa dégradation a débuté au commencement du développement de la commodité).

Voilà l'organisme (charnel, cru) de la conscience, l'objet autorégulé (éliminatoire).



             Névrosée (abîmée, inhibée).

Psychologie et psychiatrie ?
La conscience humaine est primordialement sentimentale. Voilà comment nous nous exprimons en permanence et pourquoi nous sommes capables du pire comme du meilleur.
La raison n'est pas nôtre, elle nous apparaît et s'impose, autant que possible.

L'éducation (explications) est affective et qualitative (à quelle condition serait elle parfaite, à être tous amoureux ?).
Un enfant, déjà descendant (personnalisé) et pressentant son devenir, émerveillé (clair voyant) s'imprègne (de moins neuf mois à plus quatre ans, puis suit le phénomène boule de neige), selon sa sensibilité, de ce qu'il ressent de Son monde (côtoyé), Attaché à ses Exemplaires parents (transmetteurs) et, sans introspection, jusqu'à l'adolescence et l'inclusion sensorielle, ouvert (vulnérable).
Un adulte (ressentant), optimisé et introspectif, continu de se constituer (possiblement s'accorder) au travers de sentiments résultants obsessifs, voir jusqu'à obsessionnels, incluant leur besoin, d'imprégnations particulières indélébiles, et imperceptibles en soi (nous nous connaissons qu'effectivement), mais potentiellement apparentes aux autres, enfermé (Conditionné, déjà sentimental en appétence, puis culturellement adapté à un milieu, en obligeance existentielle), et réactionnel (Compensatoire).
Voilà la dépersonnalisation (atteignant la précise expressive forme, l'appariteur visage), homogénéité spécifique, obéissance, carences et inhibitrice frustration sont perpétuées.
Il n'est pas de pure conscience d'être, puisqu'imprégnée.

Le sentiment (bien ou mal heureux), circonstanciel, est spontané, le rêve, subconscient (d'une personne constituée), le réinvente.
Notre subconscience ou intégralité en instance, adaptatrice, répond à nos obsessions, manques ou rejets affectifs, physiquement (elle peut s'opposer à la séduction corporelle ou au contraire).
Voilà l'involontaire autosuggestion.
La douleur, excluante, doit être partagée, son adoucissement requiert d'en connaître la cause. Les comportements sentimentaux des adultes engendrent les sentiments comportementaux des enfants.

La volonté, à défaut d'être simplement véritable, est vainement forcée.
Je m'Enfume, embrume mes ressentiments (amères saveurs mentales), ou m'enivre, euphorique palliatif, exutoire (artificielle extase, exempte de béatitude), me désinhibant, me rouvre à m'éteindre, me panse, me rend_ferme en état modifié.
Voilà l'intime désolation, l'inhibition (la névrose contrarie la connaissance).
Incessante quête, d'une harmonieuse réalité, la Présence, se sentir là, être Ce Là, Comblé, requiert, dès avant la naissance et au moins jusqu'à l'âge de l'éveil, précédant celui de la raison, d'être Introduit (préparé) au monde, à l'envie d'y participer et de partager, d'exister intégral.
Toute conscience exprime sa présence, son absence, parfois jusqu'à la violence.
Voilà l'incommunicabilité, d'être en retrait ou autrement nulle part ailleurs.
L'amour, bien qu'inné, doit nous être confirmé, sinon nous perdurons infirmes, existant hors de tout et de tous, du moindre intime partage ou communion, inapte au bonheur (voilà la physiologique existence perpétuée). Nous ne pouvons partager que ce que nous avons en commun.
L'état, surtout sentimental, d'une conscience, déterminant son agissement, résulte de sa sensible expérience infantile. 

La télévision (etc), communautaire, ainsi populaire, est une fenêtre ouverte sur le monde Transcendant la présence, à terme de monde, nous y transposant, approximativement unificatrice, distrayante, par ce biais, Culturelle et Educative.
Aussi l'instrument de notre insatiabilité, nous permettant, pour pallier l'habitude, d'exister (observateurs, nous assimiler) virtuellement par procuration, de séduisantes et impressionnantes fictions, hypnotiques, nous emportant, comme des rêves vécus, à en rester imprégnées de sentiments terribles ou doux.
Voilà la virtualité, le dernier état du désir, celui d'une conscience factice (même virtuel ou fictif le bonheur est ressenti, par identification).



            En fin le voile est levé !

Par la dualité des éléments, étant essentiellement Comparative, nécessairement en constante variation sensorielle, Contrastée, soit entre Douceur et Douleur, Confrontée (à tendance dominatrice), prenant sa qualitative sensibilité, estimable et déterminante, pour valeur, engendrant le mérite (récompensatoire, inégalitaire et injuste), la honte et le mépris (névrotiques), Valoir, Aspirer à se ressentir et paraître meilleur, qu'autre, à s'élever, sauf d'être Content de participer, de se sentir utile, d'avoir une raison d'être, une existence définie par un savoir faire, est un besoin inhérent à la conscience humaine (ainsi influençable, conditionnable), rassure, à rire (déborder de contentement, ou pleurer), d'être apte à exister, parvenu, mais engendre aussi la dominance, ainsi la violence, "réplicatives". 
La moquerie, reconnaissance de nos défauts (l'imperfection est notre principale qualité), semblant nous en exclure (les dénonçant), en exprime la satisfaction. 
Valoir nous satisfait, d'où notre penchant à évaluer notre prochain, plus ou moins lointain ou ailleurs, par besoin de le connaître, à confirmer le racisme (élévatoire) et le patriarcat (éducation matriarcale phallocratique).
En creux de monticules se pelotonne le douillet pas sage. Conduit, Rude réduit Délicate. Con fut le premier mot prononcé puis détourné par un homme.  

Obnubilés par la raison. Apercevant que toute chose est incluse à une autre n'étant pas sans (mais est, donc avec), d'où "Pourquoi ?", nous adoptons cette condition d'absolue nécessité, propriété de Être (Être est rationnel), pour principe de compréhension. Nous prenons pour vraie toute chose à condition qu'elle nous Paraisse fondamentalement Logique, qu'elle ne peut pas ne pas être, pour une autre et Ainsi (tel que chacun est), ou du moins correspondante à notre connaissance d'Être.

Être Sait. Le pardon nous serait propre.
 
Pour qu'il lui soit possible d'exister intentionnellement, l'humain, constatant ne pas être nécessairement suffisamment conscient (susceptible de, potentiellement dangereux), est obligé à se considérer responsable (autre nécessité communautaire, avec la contradictoire car instinctive morale), maître de lui (nécessité existentielle), à occulter, nous en avons le pouvoir, pour tout ce qui nous est inadmissible, y compris de nous-même (il s'agit de s'admettre à fin de s'accepter), sa relativité, son animalité, notre prédominante sentimentalité, directive, prédéterminant notre comportement.
Attitude paradoxale, justificatrice de l'effrayante et exemplaire (correctionnelle) punition (pulsionnelle vengeance: en colère, intense répulsion d'une injustice, rendre la douleur), entretenant la Violence (ne considérant pas essentielle notre sentimentalité, nous nous y adonnons, sans restriction, pourtant l'occultant pour rendre exclusive la raison), et nous y conditionnant, conscience en son état, nous projetons en l'autre notre désir d'être estimé conscient, responsable.
Pourtant, l'instruction, vouloir se nourrir d'autrui, si nos mémoire et sensibilité le permettent, nous améliorant, nous libère de l'ignorance et de l'absence, élimine progressivement notre dangerosité (voilà le problème), "qu'en attendant nous écartons", suivant un jugement, l'évaluation de la Qualité, pour "Compatibilité", d'une personne (si irresponsable, d'instinct coupable, pour nous et par elle occulté, donc corrigible, en la transposant. La morale pallie, dans la mesure du possible, les manques étatiques de connaissance et sensibilité, empêchant la compréhension).
En simple connaissance de cause et conséquence, pouvant nous déculpabiliser, soit abandonner la morale (le bien, vertueux, conservateur, et le mal, vicieux, destructeur, en sont les considérations, aussi directives), selon notre expérimentale et éducationnelle (spécifiquement différentielle) ignorance de l'autre (déjà de soi-même) et incapacité à s'y identifier (voir là la truanderie et la guerre ou tuerie, dominatives), accepter que notre responsabilité, aptitude à devoir répondre de nos actes, à pouvoir les expliquer et les assumer, est relative à notre personnalité (qualité, évaluable), particulières composition et sensibilité, résultantes de la composite hérédité (nous prédisposant) et des sentimentales éducation et expérience, serait l'entrée en bienveillance, la voie de la sagesse, de l'incertitude (nous devrions considérer provisoire notre constitution personnelle, ne pas tenir pour acquises nos certitudes, ordinaires comme fondamentales).

Egalement obnubilés (préoccupés) par l'avenir, souffrants de manques et de méconnaissance, l'Espérance (la confiance compense l'Incertitude) de bonheur (d'être heureux malgré soi), induite de l'enfance (l'étonnement ou émerveillement), couvre notre Peur de l'inconnu.
Habituels sentiments contradictoirement incitatifs (prospectifs).
L'espérance (desiderata), permanente, reposant sur le souvenir du bonheur ou du malheur, suscite la persistance, s'oppose à l'abandon (la dépression est l'effet du désespoir), et la peur suscite l'attention et l'intention, pour se préserver et progresser, mais incline (le contentement) à l'égoïsme (repliement sur soi) et invente le mensonge, dissimulation, de notre insuffisance, fragilité interprétée vulnérabilité, infériorité.
L'état du monde en est la conséquence, de la certitude et l'incompétence.

L'habitude neutralise la sensibilité (à la douceur), fors l'attention (l'art ou goût, hélas classé, en appartenance, essaie d'extérioriser l'apparition en sublimant l'idée, cultive l'émerveillement pour les soutenir), à l'ordinaire beauté de toute apparence ou idée, et tandis que le bonheur, d'être émerveillé (comme par ces matins et soirs qui nous enchantent), de connaître (apparaître), s'estompe, l'existentiel contentement (de la constante appétence), fondamental sentiment directeur, l'important, en perpétuel renouvellement (alternatif), perdure à sourire (aussi à chanter).
Ceci pour la phase agréable, à une époque et en un lieu sereins (relatifs à la connaissance), Conservatoire d'espoir.

L'estime de soi (sous ou sur évaluation), par défaut de confiance en soi (qualification), se projette, dès l'adolescence, en mépris (invalidant l'aide au plus faible), infériorisation de l'autre (supériorisation de soi).
Social mais masqué (virtuellement honteux), voilà l'inhibition, Comparaître, être l'autre, de l'autre.

Nous semblant maîtres de nous (certains), définis (identifiés) par nos possessions (concrètes et abstraites), la privation (où spoliation) et le mépris (où délaissement, ghettoïsation des pauvres, "classés" en bas), l'injustice, provoquent la répulsion (ou l'injonction, autant faussée que l'obligation).
Voilà la désinhibition, l'impulsion à l'insoumission (l'Obligatoire Libération).
La Possession, illimitée, conférant le libératoire (mais relatif) pouvoir d'agir (total sans), est surtout, par la peur collective (multi-individuelle) de manquer de moyens de subsistance et d'espace, le principal prétexte de la primitive (sensationnelle) et instinctive (inconsciente) tuerie, à cause du moi, confronté au monde, l'assouvissement du pulsionnel besoin, qu'a l'homme, de dominance (insoumission, revanche sur l'obéissance due à l'existence, ou plus exactement à son conditionnement), interdisant la compassion. Seul l'animal, ignorant Être et ressentant, peut tuer, puisque sans remords.
Ne pouvant pas apparaître l'au delà de rien (de l'absence de tout, en réalité moins que l'espace vide), nous pressentons la mort (ordinaire) disparition et absence, corporelle (de l'objet), jamais définitive (du sujet). Comprise fin ou passage, elle n'engendre pas la peur.
La mort annihile la provisoire personnalité de l'âme, après que toute essentielle relation, particulière et générale, se soit estompée.

La conscience est de l'observance, de ce qui nous apparaît, inductive d'hypothèses (suppositoire).
Regarder, superposer à l'objet (Apparence) une composition d'idées (apparition), imprégnée d'un sentiment (aussi idéalisé. Les sentiments que nous éprouvons, de toute circonstancielle situation, nous apparaissent).

La compréhension (interprétative) étant personnelle, la foi se confond à l'identité.
Voilà l'injurie, son appropriation (détention).

La communication, finalement globale, (extériorisation, principal partage), informative, est intentionnellement corrective ou progressive et Unificatrice par réciprocité.
(la dispute précède l'entente).



            Attitude d'Aptitude.

Être là, d'autrui, avec, simplement connu, interactif et sincère, similaire et confessionnel, acceptable.

La conscience humaine est réaliste, de qualité adaptative (l'extraordinaire anormalité est de troublante à perturbante).
L'aptitude (essentielle sensibilité), à connaître (apparaître et mémoriser), à surpasser la réalité, à discerner le sujet de l'objet, la vérité de la réalité (pour apprendre), s'exerce uniquement par intérêt, personnel, nous Important au monde, nous y intériorise.

Notre attitude, envers autrui, est appréciative, de nos conditions respectives.
Au monde, existant, en situation, s'adaptant, ayant des besoins, participant, aussi d'être maître de soi en son milieu, tentant d'être influent (au mieux correcteur).
Occupés par notre corps, la subsistance et la commodité nous appliquent à la matière; esseulés par l'incompréhension, seuls parmi tous, isolés et inquiets; mais conformes en genre et culture, réconfortés par la similitude, sociables, chacun étant la vérité de tous.

Voilà l'ordinaire anormalité.
Insuffisamment conscientes (approximatives), obligatoirement obéissantes à la communauté à laquelle nous avons le sentiment d'Appartenir (tenues, le cas échéant, d'abandonner notre individualité), de crainte d'en être exclues ou qu'elle se désagrège faute de cette permissive obéissance (l'incompréhension et la sentimentalité en sont les conditions. La population est la seule habilitée à renverser un régime autoritaire), la maintenant a priori (voilà pourquoi il est possible à quelqu'Un, populaire, auquel le plus grand nombre, "inélitiste", s'identifie, de s'emparer du pouvoir et de fomenter une tuerie de masse), notre besoin d'être gouvernées, fait de coordination et normalisation (l'organisation s'établit d'elle même en réponse aux besoins), pour atteindre la sûreté (et, à cause de notre défaut, la sécurité), s'altère en chefferie (dominatoire, guerrière contrairement à l'aspiration commune), légitimée par l'approbation générale (moyenne), le juste principe communautaire (cause du séparateur communautarisme), relatif au besoin le plus pressant, social ou (et) identitaire, exercée, a contrario de la diversité des compétences requises, par ambition (ambigüe) et présomption, désinhibition masculine sous emprise névrotique commune.
Ainsi, tous les "gouvernements" abandonnent l'économie, assurant la provision (cause de notre activité), à la coercition financière, paradoxalement (l'étant) préférée à l'humaine (ou pas, partout où, par défiance envers le peuple, le droit est réprimé). La finance (économie monétaire, dont la pauvreté est l'incohérence factorielle), mondialement (par tous) considérée fonctionnelle, est dépositaire du pouvoir (d'agir).
Voilà l'antinomie, l'économie de marché, pratique globale cause de la conflictuelle compétition internationale, Matérielle (l'identité cultuelle rallie les hommes. Pourquoi être disciple ?), aléatoire, dépendante de l'obligation ou la possibilité climatiques de produire, et corruptrice, dépendante de la peur du lendemain.
(En politique la pratique est le plus souvent contraire à la théorie).

La Normalisation des mœurs (civilisation, la même pour tous, laïque, pour une coexistence cohérente, ce qui n'interdit pas la distinction, si celle ci n'est ni exclusive ni substitutive. Est-ce possible ou considérable pour chacun d'entre nous ?), non pas finalement dictée, mais influencée par la monétisation de l'économie, tient, à cause de notre défaut, de l'ingérence, respectueuse du droit (de la possibilité), exigeant toute compétence, pour aboutir à l'équité.
Opportunistes et démagogues la dédaignent (ou s'en servent).
Voilà l'impéritie, internationalement exploitée (la démocratie est compassionnelle).

L'éthique, définition de la morale, est constitutionnelle.
L'instruction, transmission constituante (mise à niveau, en Harmonie), dont la diversité implique la complémentarité, est institutionnelle (la méconnaissance engendre le particularisme).
En interdépendance, il appartient à chacun d'entreprendre selon sa compétence, seul critère admissible.
Nous devons, non pas être obéissants, mais adopter une éthique, ce qui suppose d'en avoir été instruit.

Parallèlement.
La tradition (ancienne façon), conservatrice, est péremptoire.
L'ignorance (l'enfer me ment comm'un, la misère en est la conséquence), condition humaine (incitative insuffisance), de notre sentimentale, soit exacte, existence, salvatrice inconscience, contrariant le bonheur, favorisant le malheur, pour une humanité viable, nécessite le recours quotidien à l'introspection, l'approche d'Être conscient, de l'éternité.
Voilà la religion, consolidant la communion humaine, mais locale (identitaire), effective (concrétise la foi, personnelle et partagée), injonctive (par reconnaissance de notre insuffisance, invite à suivre la morale, incluse en tous) et édifiante, renferme ordinairement, fors la foi, faite de confiance et d'espoir, aussi en la libératrice (tel est son dessein) science, anormalement contre nature, encore volontairement partiellement instruite, à laquelle seule la génération suivante s'adapte complètement. Le progrès nous modifie, dans la mesure où il nous concerne.



            Pouvoir de pourvoir.

Toujours sentimentale et relative à son aptitude. 

Le tribal autoritarisme (toute raison gardée, l'obéissance est affiliée à l'ignorance), pour imposer l'ordre (la systématisation ? La domination, compensatoire de la névrotique inhibition, est sa seule vérité, inavouable), sous prétexte de grandeur (d'inquiéter pour dominer, nonobstant la justice sociale !), fondé sur les régressives dépendance et obéissance (instrumentalisées pour servir la répression. Voir là des gens armés, asservis, possédés par la dominance), est propice à la prédation, que les insuffisances matérielle et spirituelle permettent.

République (déclinée !), plus de chef (détenteur de la juste méthode ?). Toute décision doit être exclusivement collective, faire l'unanimité en complémentarité, atteindre le consensus par concession.
Voilà la démocratie (arbitrale), relative à l'instruction, Désirée (espérée), à réinventer (sans prédominance, que jamais personne soit seule à pouvoir).

Mais une conviction, relative à soi ("indéconstitutionnable" ?), est consistante, assure et valorise.
Voilà la rétrogression, l'adoption d'un ersatz de démocratie, d'un autoritarisme plus ou moins "modéré".
La certitude (savoir est absolu), stabilisatrice, justifiant la conviction, occultant le doute (l'ignorance), est mensongère, ce qui implique de s'abstenir de toute détermination.

Liberté: maîtrise de soi \ sentimentale.
Egalité: de qualité affine \ estimable.
Fraternité: en communion \ identifiable.

La communauté, individuelle coexistence, existentielle communion, amicale, chacun découvre l'Autre, s'accorde, tend à aimer, partager, condition naturelle, est préventive.
Son principe est l'entraide et son dessein, le bien-être de chacun, qui ne se peut que par l'inconditionnel partage originel.
Elle implique la sincérité et la réciprocité, la confiance.

Son système de fonctionnement, l'échange, est caduc. Les centralisation et automatisation de la production sont exclusives, aussi de la distribution.
Voilà la précarité, les circulation et répartition monétaires sont contrariées.

Les production, distribution et communication se mondialisent, réunissent les identités et généralisent les opinions, anarchiquement.
Voilà la nationalité (général nationalisme), appréhendable et définitoire identité, tribalisme demeurant et subordonnant (la douceur des uns est par la douleur des autres, frauduleuse et prédatrice imitation de la nature), territorialement consolidé, par la possession, contrôlable, suscitant l'autoritarisme, contrariant la résolution de nos problèmes, mondiaux (aucune nation ne peut complètement s'isoler, elles sont naturellement interdépendantes, coopérantes), préservatif de la relative et subjective définition de soi, contemporaine, par appréhension de la changeante et perturbante (mélange les cultures, éduquées ou inculquées) évolution globale (l'histoire du monde), éventuellement accentué par la nostalgie, d'une sentimentale identité, particulière et générationnelle, identification communautariste, excluante appartenance, prétextant toute dissemblance, incompatible faute de communication interculturelle. Voilà l'étranger, inidentifiable, inassimilable, ressenti inférieur ou parasite, comme infectieux.
Europe, voilà un nouvel entre-nous, monopolistique, l'adversité intercontinentale.

Le communautarisme, déjà instinctif, animal, autant que la possession, nous séparant et nous isolant, réduit le monde, sur lequel s'applique la morale, à l'appartenance (en dehors tout est comme faux), se résoudra par la coopération internationale, niveleuse de l'état général.
L'identité, culturelle et cultuelle, est expansible, mais nous craignons de manquer (Finalement de nourriture, d'eau potable et d'oxygène).

Chaque jour renaît le monde, depuis je suis du passé (mon constituant). J'y demeure après chaque pas (vers l'avenir, espérant).



            Un monde argenté (monnayé).

Pas d'appât apporterait l'apathie, fors et sauve l'appétence.

L'existence est nécessairement commune, associative, participative.
La participation (Agir) intègre, l'isolement (l'Ennui) désintègre.

Mais nous doutons de l'intégrité (la valeur) de notre prochain (l'inconnu).
Pour le (nous) contraindre (voilà la liberticide désobligeance impliquant la soumission ou obéissance) à participer (travailler, quelque soit la tâche, normale chez soi), nous avons conditionné (réservé aux participants) notre subsistance à la possession, supprimé le partage, imposé l'échange.
Voilà la participative entraide convertie (oubliée) en concurrentiel mérite (est-ce un mal nécessaire ?), jugement affectivement compensatoire et inégalement classificatoire (autre appartenance, à une classe, en rapport avec la conditionnelle accessibilité à l'instruction).
Toute fonction étant indispensable, soit inestimable, ce qui pose l'égalité (de droit), la hiérarchie, coordination de la coopération, n'impliquant pas l'obéissance mais la compétence, ne devrait pas être une échelle de valeur.

L'échange des produits et services (du travail), théoriquement équitablement déterminé (pratiquement fonction de la rareté), en quantité et qualité (numéral), comptant le taux des services publiques, est facilité (simplifié) par l'invention d'une Valeur intermédiaire concrète (aujourd'hui virtuelle) l'argent (capital, devant être proportionnel à la somme des besoins de la population, et sa partie immobile, supplémentaire, afin de ne pas restreindre l'échange, devenu fonctionnel).
Voilà notre existence, situationnelle et relationnelle, où se mêlent, pour le bonheur, conditions et illusions, assujettie (gâchée à cause de notre qualité) à l'argent, dépendante de ce moyen (en avoir) et de sa finalité (en vouloir), de cette conversion (le moyen est devenu le but) du Pouvoir d'agir, nous aliénant. La possession, dominatoire, ainsi semblant libératoire (autant que la transgression), en réalité nous possède et renforce notre obéissance ou soumission par la crainte de manquer.

Voilà la mondiale "monnaicratie", dont l'abus, la spéculation, déstabilise l'échange et Affranchit du travail.
L'utilisation (accaparement) de l'argent, nous (mé)conditionnant, implique la sélection, l'exclusion du bien et des personnes, sa dictature et sa criminogène avidité.
Voilà l'ineptie, sa consécration.

La possession (échangeable), considération rassurante (stabilisante) et valorisante (obsédante, invalide son pouvoir, de secourir, naturel sans), substituée au partage, nous disjoint par le dévoiement de notre Intention (s'efforcer de Contenter, cultiver le bien être).
Profiter (se satisfaire), voilà tout ce dont à quoi nous serions capables d'être intéressés.
Voilà la déviance en indifférence, la désocialisation (marginalisation).
L'égoïsme (également communautaire, identitaire), certes Avidement motivant (excessivement dénaturant), à défaut de la commune, réciproque, intention, sentimentale et raisonnable, est isolationniste et oppositionnel, l'amitié s'est rarifiée, nous sommes devenus autant adversaires que partenaires.

Sans l'argent, contrariant toute fonction, tout est possible (nul coût).
L'activité est naturellement intentionnelle (nulle contrainte).
La possession normale, nécessité individuelle (attachement personnel), est une convention interdisant aux autres de pouvoir disposer de quelques choses. Anormalement démesurée et généralisée, érigée en principe actif du travail, elle est devenue la condition de notre pouvoir d'agir.
Attachés à notre milieu et ses certitudes, la liberté, l'illusion d'être maître de soi, exclusivement rationnel, contrôlant nos sentiments, parfaite conscience, suffisamment savante, est en acceptation (de soi) de l'obligation, d'être lié (aimant, aussi passionné), en fonction, ainsi naturellement interdépendant (intégré), et de progresser (s'accomplir) afin que chacun dispose de tout ce dont il a besoin (désir, autant évident qu'insidieux, permanent), le conditionnant à sa mesure, personnelle (sensée être individuelle).
Voilà la liberté, virtualité de l'existence (pouvoir vouloir fors et sauf devoir faire), l'absence de toute contrainte, la négation de l'obéissance, une de nos nécessaires principales quêtes avec l'égalité, conditionnelles, toujours briguées, jamais acquises, que le mérite (induit de la virtuelle responsabilité, induite du valoir) rend incompatibles, en une humanité a priori considérée vertueuse (pour croire que tout nous est possible).
Si l'ignorance est la condition de notre existence (conscience, soit nécessairement inconsciente, renouvelable), la connaissance, progressive, est celle de notre liberté, elle-même condition de l'intentionnalité (d'être soi, adapté, non inadapté).

L'utopie est la perfection (l'individualisme, intentionnel: toute conscience oeuvre pour toutes, d'où toutes pour toute. Son bonheur, à son gré, est la finalité de la société) inaccessible par défaut ou nécessité (la personnalité, l'adéquate car Liante imperfection).

Inconditionnel, le revenu universel serait le premier pas d'une utopique reconversion à la participation, au volontariat, à avoir confiance en son prochain, à ne pas le mépriser comme soi même.

Le profit prédominant le constant Désir, d'exister lié et libre, content de contenter, l'identification, la valorisation et la possession hors norme (les armes de l'organisme) nous tuent (régulent notre densité).
Est-il encore possible de s'adapter à un monde juste, d'intentionnel partage, fondé non pas sur le mérite et l'obéissance (l'abandon de soi), mais sur la confiance, que l'instruction et l'information conditionnent, que l'appétence et l'incertitude stimulent.
Y participerais-tu ? L'important n'est pas la vérité (même la vraie), mais ce que souhaite la population. 
(Probablement il est des mondes finalement en communion, mais n'étant plus surpris).



A l'âge de la survivance.

Voilà l'important en monde, mais aimer, à désirer partager, est-ce d'admirer, l'exceptionnel ou l'inhabituel ? L'attirance florale est l'origine de l'amour.

La cause ou nécessité est qualitative ou effective, mais non créatrice. 
Conduite pour possible, l'existence ruisselle de douleurs en douceurs, entre malheur et bonheur selon les conditions d'existence (aussi inévitablement migratoire, conflictuelle à cause de notre pauvreté). 

Exister (agir, n'être qu'en réalité), voilà la prédétermination, la préservation (instinctive, innée, ancestrale acquisition).
Voilà la Prégnante Obligation (inéluctable incitation naturelle ou morale) de faire (assouvir ou subvenir) ce qui est indispensable (s'entraider, à cause de la diversité des besoins, engendrant l'empathie).
L'obligation, involontaire, comporte son propre déni, résultant de notre quiddité, l'illusoire libre arbitre, l'intentionnalité (parce que mortels), décisionnelle mais causale.
Pour nous convaincre d'être maîtres de nous même, nous agréons l'illusion d'avoir la faculté (possibilité) de choisir (préférer le meilleur, pour et selon soi), ce que notre sentimentale raison (le suivi de la causalité), induite de notre incomplète et particulière connaissance (au préalable relative à un lieu et une époque), affectivement et possiblement acquise, soit de notre sensibilité, dont la mémoire, qualitativement et partiellement constituée, est l'instrument, nous oblige à adopter conformément au tenant, la méconnaissance, et aboutissant, une déterminante conviction.
A postériori, nous ne choisissons pas, nous nous adaptons, nous contentons. Il n'est pas de choix pur, sans cause ni condition, mais hypothétique. Notre personnalité ou qualité prédétermine notre choix, d'une existence affectivement structurée et conservatoire.
Voilà l'adaptativité (actifs, nous ne pouvons pas ne pas faire, ce que nous devons faire), réactionnelle et progressive, aussi directive (la nécessité nous commande, telle que nous la comprenons, ou un sentiment, tel que nous l'ignorons).
Cette illusion, irréelle mais véritable, nous permet d'exister, décisionnaires (observateurs, le devant, sinon apathiques), ce qui implique la certitude, nous soulageant irréversiblement, éclairés, éblouis, d'où notre comportement, à l'extrême, destructeur de l'Objet.
Voilà donc notre ultime espoir, atteindre l'absolu, quitter la réalité, s'en libérer, fors et sauve l'intention.
Nous en sommes essentiellement vrais, comme avoir (posséder) est existentiellement définitoire (Avoir, des besoins, aussi de se définir, ainsi que le monde, ignorant ce que nous sommes). Nous sommes constitués de certitudes contradictoires (aussi névrosés à la fois désireux et nostalgiques).

L'humain (déchu) né Aimant (confondu),
En constante adaptation et constitution, relative mémorisation,
Aspire toujours à communier, goûtant de tout sens.
Sauvage (tenté) et domestiqué (rendu).
Naturel et normalisé.
Ne pouvant qu'être ainsi, essentiellement dual, sentimental raisonnant, obligé à sa qualitative Possibilité, de s'améliorer (nous éprouvons forcément les sentiments liés à notre histoire personnelle, conjuguée aux autres) par la connaissance. Seule la constituante instruction, progressive, est libératrice (à devenir oisif ou contemplatif), elle tempère notre animalité.

En état de connaissance approximative, nous apparaissons ce que nous ressentons, ne percevons pas ce qui est (l'erreur est d'être sûr, même à en avoir fondamentalement besoin, comme savoir). 
Bientôt débridés, reconvertis d'obéissants, collectivement solitaires, en participants, individuellement solidaires.
Revoilà la Confiance, aussi en la naturelle providence.

Mondialement communicante, l'humanité se reconnaît.
Avertie, elle se réincorpore à l'obligation de soin du corps, au respect de sa diversité.
Voilà un monde qui, après avoir perdu (souillé) son paradis (la multitude, magnificence d'Être), pourrait ne pas s'achever (notre nature est à contre sens et confuse, sujet en objet, il nous appartient de la rétablir, objet du sujet, ou suivrait une longue agonie, cruelle).

La sensation, radiante, est profondément et universellement communicative.
Chaque cellule (composante sensitive, s'unifiant par attractive similitude) existe, (nous le sommes le plus souvent) primitive conscience née d'une âme (nous revenons en monde perpétuellement sous importe toute forme).
Là, présent (partageant douceur et douleur), Être (Générateur, de la beauté et la pollinisation ou sexualité) inspire des sentiments, que nous ressentons en fondamentale communion, voilà l'intuition, subconsciente, savante, la conscience en Transpire d'autres, voilà l'instinct.

La conscience (de ce qui est) est perpétuellement renouvelée, constamment nouvelle, remise au monde, obligatoirement réactive (perceptive, apparitrice, découvre). Le présent, temps de l'éternelle jeunesse, de la vérité (de la méconnaissance), demain sera passé, Aujourd'hui est souvenir.
Nous nous complétons (notre originelle constitution) de tout ce que nous sentons, percevons et apparaissons, en un milieu et à une époque. Cette reconstitution, identitaire, est subjective (la réalité ne nous définit pas, elle nous porte), ainsi vraie puisqu'essentielle, mais non immuable. Toute conviction est culturelle, et toute culture, actuelle, ainsi réactive.
Omniprésente et inévitable, la mort tente l'homme, connaissant d'être provisoire, d'être au dessus de tout (voilà notre inclination à la tuerie), déjà de cette mouche.

Si l'existence est en partage, affectif, de l'universelle présence de toute conscience (compagne, même mouche), il faut sa durée pour apprendre à regarder (être guéri de notre névrose), pour pouvoir voir et goûter l'odeur des choses, leurs musicales couleurs (idées, sentimentales apparitions, par lesquelles nous communions intensément), particulières et ambiantes, être Pleine conscience (nourrie), amoureuse (tombée hors de la raison), de l'avoir été, enfant, tendrement aimée.

Nous reconnaissons l'inné et subconscient savoir (Être et l'âme), mais cette reconnaissance est confusionnelle.
Ainsi La Réponse, évidente mais Finale, est en nous, à chaque fois nous nous en préservons jusqu'au bout.

Existant, en situation et relation, comment aimer tout autre alors qu'il est hors de nous ?
Pourquoi comprendre (goûter, se confondre en tout) ? Être, où ?
Le bonheur, de contenter à émerveiller, est vécu, ignoré, espéré et remémoré.
Vois là, aussi étroite qu'elle soit, la communion (compassion), car tout (toi aussi) Est d'aimer Être, en partage, toute chose et personne (communiant).